La guerre de l'apocalypse

Chapitre 10 : L'Amérique, groupe 2

Cette partie de l'histoire concerne mon frère et mon apprentie : Claire. Nos parents les ont parachutés au-dessus de l'Argentine, dans la ville de Rio Gallegos, une ville situé dans le Sud de l'Argentine, le point idéal pour un sniper comme mon frère : il y'avait des immeubles un peu partout dans la ville qui donnait une vue dégagée sur les routes, les immeubles étant assez prêt les uns des autres pour pouvoir sauté de l'un à l'autre. Mickaël et Claire atterrirent dans un petit parc, une fois au sol mon frère pris son five seven et le pointa en direction de Claire, instinctivement elle se baissa, mon frère tira, 3 zombies s'écroulèrent alors au pied de Claire, ils se regardèrent un instant et Claire le remercia d'un clin d'œil quand tout à coup une quinzaine de zombies sortirent et les encerclèrent : Claire saisit alors son arme, se prépara au combat et attendit les ordres de mon frère.

Les zombies se rapprochaient de plus en plus, juste assez pour que mon frère les abatte en 2 coups, il tira alors sa première balle : elle rebondit dans la tête de celui en face de lui, puis alla se loger dans le corps de celui à côté. Claire lança sa machette dans le pied d'un de ceux qui était encore en vie, tira sur la corde et arracha la jambe de ce dernier, elle rattrapa le manche de la lame, la relança en la faisant tourner grâce à la corde, ce qui eut pour effet de trancher la tête de 3 zombies autour d'elle juste au niveau de la mâchoire. Les dix dernier se regardèrent alors d'un air inquiet, comme s'ils savaient que leur fin était proche (en fait je pense qu'ils n'ont jamais vu quelqu'un les résister de cette façon) toujours est-il qu'ils ont eu un moment d'hésitation, moment pendant lequel Claire saisit une deuxième lame et fonça droit sur eux, elle n'avait que 6 mètres à faire pour les atteindre mais Mickaël fut le plus rapide : avant même qu'elle ne fasse 3 mètres, il avait déjà éliminé neuf de leur assaillant, elle se précipita alors vers le dernier dans l'espoir de pouvoir l'éliminer (elle s'était mise entre l'arme de Mickaël et le zombie) mais elle n'eut pas cette chance. Elle se retourna alors vers lui :

« T'es sérieux là ??

- Ben quoi ?

- Tu les as tous tué, j'en voulais un. Moi qui pensait qu'en me mettant entre toi et lui je t'empêcherais de l'avoir.

- Et bien non, c'est l'une des choses que j'ai apprise à Clark et Diane : ce n'est pas parce qu'il y'a un obstacle qu'on ne peut pas atteindre notre cible.

- Vous les snipers vous m'énervez, honnêtement tu aurais pu me le laisser celui-là.

- Disputez-vous si vous voulez mais n'oubliez pas la mission, vous aviez oublié qu'on était connecté ? honnêtement votre dispute m'empêche de me concentrer.

- Excuse nous monsieur 100%, c'est bon on continue, et puis il te suffit de ne pas te concentrer sur nous pour l'instant gère ta puce autrement Samuel !

- Quoi tu parles à Samuel pendant qu'on se dispute ? même ça tu ne respectes pas ? »

Ils continuèrent à se disputer un petit moment, mais en avançant. Ils finirent par arriver devant la base, l'entrée était devant un grand magasin commercial, enfin quand je dis devant je veux dire sur le toit d'un immeuble en face, ils prirent l'ascenseur et descendirent au 10e sous-sol (oui ils sont monté sur le toit pour redescendre au sous-sol y'a pas trop de logique mais avec l'Agence on fait parfois des choses insensé), une fois en bas, il y avait de l'agitation partout, des soldats armés de fusils AR-15 et d'MP7 les attendais et avaient l'air d'avoir peur d'eux, Mickaël s'avança alors doucement vers eux les mains dans les poches comme s'il était chez lui, malgré les ordres de celui qui avait l'air de commander. Claire en fit de même en leur expliquant qui ils étaient. Une fois l'explication terminait ils baissèrent tous leurs armes, mon frère demanda alors à parler avec le chef de l'établissement, une femme s'approcha alors de lui tout en retirant ses lunettes, elle était brune avec une longue queue de cheval en guise de coiffure, habillais d'un débardeur militaire noir et d'un pantalon rouge moulant, elle s'adressa alors à mon frère :