Chapter four

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J'AI PU LE POSTER À TEMPS MON DIEU.

Je ne sais absolument pas comment j'ai pu vous pondre un chapitre aussi rapidement mais j'étais vraiment inspirée ! (Beaucoup plus que pour mes fichues lectures analytiques...)

Par contre le prochain, je ne sais pas si j'aurais la chance d'avoir la même inspiration ! De plus je vais pas vraiment pouvoir écrire xD

Demain c'est l'épreuve écrite (adieu monde cruel.), mercredi je vois mon éducatrice et le jeudi c'est mon oral. Je suis débordée. Par contre j'ai trouvé une super technique pour retenir mes analyses omg j'suis heureuse (si vous voulez la connaitre demandez moi, on est tous dans la même galère xD) BREF J'ARRÊTE DE RACONTER MA VIE NUL.

BONNE LECTURE !

PS IMPORTANT LISEZ SVP.

a partir de ce chapitre, je ne suis plus du tout la trame de l'histoire, c'est à dire que ceux qui n'ont pas lu les scan pourront quand même suivre ma fic! c:

PS MOINS IMPORTANT c:

Petit rappel, mon logiciel de traitement de texte transforme les ' en ", prévenez moi si j'en ai oublié un ;)

♪♫♪♫♪♫♪♫

Le lendemain de soirée était toujours la partie la plus difficile. Katsuki en avait entendu parler. La fameuse «gueule de bois», ou le sois disant «trou de mémoire» lorsqu'on avait trop bu. Il n'y avait jamais vraiment cru. A vrai dire, il pensait que c'était simplement des excuses pour ne pas aller en cours le lendemain, ou avoir bonne conscience par rapport aux choses qu'ils avaient pu faire la veille. Or, maintenant que Katsuki était confronté à une situation semblable, il devait bien admettre, à contre-coeur, que non, ce n'était pas une simple excuse ou un mensonge inventé pour se rendre intéressant, -Quoiqu'il s'était toujours demandé en quoi raconter à tout le monde que l'on avait tellement bu que l'on en avait perdu la mémoire pouvait rapporter une certaine notoriété-. En bref, suite à cette soirée, à laquelle il ne voulait à l'origine pas assister, le blond se retrouva avec un mal de tête atroce et un trou béant dans sa mémoire. Il se souvenait seulement d'avoir commencé ces stupides jeux et d'un vague sentiment de frustration. Il se souvenait que ça avait un rapport avec Deku. Mais il ne savait pas vraiment de quoi il en retournait. Voilà pourquoi il se trouvait à présent dans la salle de bain de sa camarade, à fouiller dans les placards pour trouver des cachets d'aspirine.

Il retourna peu de temps après dans le salon où se trouvaient les autres sans se douter qu'ils émergeaient eux aussi de leur sommeil. En effet, il était le premier à s'être levé et il était encore seul au moment où il avait quitté la pièce. Il posa négligemment la boîte sur le contoir avant d'avaler le cachet qu'il avait extrait de la plaquette.

«Ah ! Le voilà le Saint Graal !» s'était exclamé l'hôte de la maison, sans se formaliser du fait qu'il venait de fouiller dans les placards.

Son intervention avait fait grogner la plupart des invités ayant un peu trop bu, Shouto en particulier qui se roulait en boule, se servant des «raisins» collants de Minoru comme cache oreille. Mais l'explosif, lui, n'avait pas eu la force de râler, chose qui était pourtant chez lui un automatisme. Son regard, et son attention toute entière était focalisée sur le visage endormi de son «ami» d'enfance. Il détailla un instant ses traits détendus, ses lèvres légèrement entrouvertes, ses cheveux en batailles et sa poitrine qui se soulevait à un rythme régulier. Il écouta attentivement le bruit de sa respiration, si calme et légère. Il était figé. Comme dans un monde parallèle dans lequel il n'y avait que lui et Deku. Il resta ainsi, perdu, pendant une dizaine de seconde avant de secouer la tête et ainsi remettre ses idées en place. Décidément, même lorsqu'il dormait, il trouvait toujours le moyens d'horripiler Kacchan qui n'avait plus qu'une envie, exploser ce visage angélique et hypnotisant. Beaucoup trop hypnotisant.

Au fil du temps..~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant