J'aime tes histoires... //Eren x Livaï//

Chapitre 16

Nous nous sommes mis à rire, cela faisait du bien de rire un peu, surtout avec lui.

Après tout...

Il m'avait énormément manqué aussi.

POV Eren

Après avoir ri un bon moment,nous nous calmons et un blanc s'installa.

Mais il ne dura pas longtemps puisque Livaï le coupa.

Livaï : Ça te dirait de venir chez moi ? Comme cela fait longtemps.

Je hochais la tête en signe de "oui", puis nous partons en direction de chez lui.

Tout le long du chemin, aucun de nous deux parlaient.

Nous arrivons devant chez lui, il ouvrit la porte mais j'hésitais à rentrer.

Et si quelque chose de mal se passait ? 

Comme la dernière fois ? 

Je ne veux pas...

Mais une main se mit sur mon dos et me poussa à l'intérieur.

Livaï : Tu gênes.

Toujours autant de délicatesse à ce que je vois.

Je m'installais, de nouveau, sur ce canapé qui a tant de fois supporté mon fessier.

Il s'installa à l'autre bout du canapé et déposa 2 bouteilles d'alcool sur la table basse.

Livaï : Pour "fêter" nos retrouvailles. J'ai cru comprendre que tu aimais le vin.

Nous commençâmes à boire, tout en discutant.

Lorsque je réalisais qu'il faisait déjà nuit.

Livaï : Eh Eren...T'as déjà essayé la sodom' ? 

Eren : La quoi ? 

Livaï : La sodomiiiiie...Tu sais quand... quelqu'un rentre sa bite dans l'anus d'un inconnu...euh de quelqu'un.

Sans lui répondre, je regardais autour de moi.

Sur la table, ne restait que les deux bouteilles vident, et un Livaï presque endormit.

Eren : Oula, je vais peut-être y aller, comme il se fait tard.

Voyant que je n'aurais pas de réponse, je me dirigeais tout doucement vers la sortie, posais ma main sur la poignée mais me fit arrêter par une voix et une main.

Livaï : Reste.

Je me retournais, il avait les yeux à moitié fermés, ses habits étaient froissés.

En le voyant ainsi, me fis rappeler la sensation d'envie que j'avais ressentie, il y a de cela trois mois.

Cette sensation intense qui ne disait qu'une seule chose : je le veux.

Mais n'étais-ce pas trop tôt ? 

Nous venons à peine de nous retrouver.

Mais je ne pus réfléchir plus longtemps lorsqu'il me plaqua contre la porte et qu'il mit sa tête dans mon cou.

Lentement, il commença à m'embrasser tout le long du cou.

L'une des ses mains passa en dessous de ma chemise.

Comment puis-je résister...?

Je ne peux pas...lui résister.

Ne sachant pas quoi faire, je passais mes mains derrière son cou.