Fille de héros.

L'hopital des regrets.

Je me réveille petit à petit. Il fait sombre mais je peux voir et sentir les draps blancs soigneusement posé sur moi. Je les remonte jusqu'à mon nez et observe la pièce à la recherche d'un indice. Après réflexion, je conclus que j'étais dans un hopital. Il m'avait abandonné ce clown de malheur. Je posais ma main sur mon oeil, tremblant légèrement j'entrepris de sortir de ce lit. Dès les premiers pas, je m'effondrais sur ce sol ce qui atttira les infirmières de garde. Elles m'ont replacée violemment sur le matelas avant de repartir en fermant la porte à clé. Je regardais le soleil se lever à travers la fenêtre. J'étais sensée disparaitre et me voilà de retour à la case départ. Quand mon père entrera, je ne serai lui expliquer ce qu'il s'est passé ce jour là. Je ne peux vivre avec lui après avoir commis un tel acte. Je me dirige vers la fenêtre pensant pouvoir m'échapper inextremiste. Pas de chance, je suis au 3ème étage et il n'y a aucun autre moyen de quitter ma prison. J'entends une clé tourner dans la serrure et retourne me coucher. Une jeune infirmière entre dans la chambre avec un grand sourire au lèvre. Son maquillage abondant ainsi que ses formes provocantes ont dû l'aider à obtenir ce travail car elle ne semblait pas très futée. Je lui souris à mon tour quand je me rends compte qu'il serait facile de la berner. La clef de ma chambre sont accrochée à sa taille, je n'aurais qu'à tendre le bras et mon évasion serait réussie. Ni une ni deux, je sasis le trousseau et quitte la pièce en prenant soin de l'enfermer. Je descends quatre à quatre l'escalier de secours et vole une ambulance dont je coupe la localisation ainsi que la radio. De toute façon, je l'abandonnerais dans un bâtiment aux abords de la ville. Une pote m'avait vendue sa moto et l'avait cachée là-bas. Après avoir tuer quelqu'un, tu ne peux plus vivre normalement.