Chapitre 13

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PDV ELSA: 

Le tissu de ma robe glissait contre mes jambes nues. L'atmosphère qui nous entourait était agréable et le parfum envoûtant de Raphael me transportait à mille lieux de cette pièce. Malgré le stress au fond de moi, les baisers brûlants de Raph sur tout mon corps me détendaient. Il dessinait de ses lèvres une ligne qui partait de ma bouche et qui descendait petit à petit, en passant par ma mâchoire, mon cou, ma nuque pour finir dans le creux de mes seins. Chaque contact m'électrisait , me rendait toujours plus fébrile. Une dose importante d'adrénaline coulait dans mes veines et je sentais mon cœur soulever ma cage thoracique frénétiquement. Quand il fit glisser une première brettelle de mon sous-vêtement, un frisson me parcourra l'échine. La deuxième brettelle glissa à son tour et mon haut couleur chair vola au travers de la pièce en quelques secondes. Je me sentais si vulnérable sou l'imposante carrure de mon partenaire. Il sourit, satisfait de l'effet que tout cela me produisait. Je détournais la tête, bien trop gênée par la situation. Il m'attrapa le menton pour me forcer à le regarder. Comme pour me mettre en confiance, il retira son pantalon et se retrouva en caleçon au-dessus de moi. Il déposa un chaste baiser su mes lèvres avant de reprendre l'exploration de mon décolleter. Les mouvements qu'il exerçait avec ses lèvres sur ma poitrine ou bien quand il me mordillait  me laissaient échapper des soupirs dont je perdais le contrôle. Les mains dans ses cheveux, je me laissais complètement aller par le désir qui accroissait au fond de moi. Ses baisers reprirent au bout d'un certain moment pour se diriger vers ma culotte. Il retira le fin tissu clair avec tend de lenteur que j'avais presque envie de l'arracher moi même! Il revint plaquer ses lèvres contre les miennes tout en frottant son entre-jambe contre la mienne. Je sentais la dureté de son érection, tout cela était si nouveau! Une vague de panique s'empara de moi, allais-je avoir mal? Allais-je être déçue? Es-ce que lui ne serait pas déçu? Et si je m'y prenais mal? Et si je ne réagissais pas? Mon corps en entier se rédit et mes bras tombèrent de part et d'autre de mon corps. Raph s'arrêta et me regarda perplexe.

Lui: qu'es ce qu'il y a? tu veux qu'on arrête?

Moi: j'ai peur Raph, soufflais-je sans soutenir son regard.

Il me carressa doucement le visage en essayant de capter mon regard. 

Lui: tout ira bien d'accord, détend-toi.

Il posa délicatement ses lèvres contre les miennes tout en cherchant ma main. Il l'a fit glisser lentement contre son torse musclé tout en plongeant son regard vert dans le mien. Quand mes doigts touchèrent le haut de son caleçon, un frisson me parcourra le dos. Il continua à descendre ma main à l'intérieur et la posa sur son membre imposant. Je lacha un hoquet de surprise et il éclata de rire.

Lui: je n'est jamais vu une fille autends rougir durant...

Moi: c'est pas drôle! 

Lui: tu es craquante quand tu rougis princesse...

Toujours sa main sur la mienne, il me fit faire de lents va et viens autour de son membre extrêmement dur. 

Bon ok j'ai pas tellement d'expérience dans ce domaine...

Il retira sa main pour me dégager une mèche de devant le visage et je fus surprise de me rendre compte que la mienne continuait toujours les mouvements. Dans un excet de confiance, je retirais la seule barrière entre lui et moi. Il me sourit avant de sortir un préservatif de sa table de nuit et de l'enfiler sans me quitter des yeux.

L'avantage de ses nombreuses conquêtes...

Je plaçais mes bras autour de ses épaules et mes jambes autour de sa taille. Ses gestes étaient doux et se voulaient rassurant. Il faisait les choses tranquillement pour me rassurer. Une fois qu'il était  complètement rentré, il attendi quelques secondes une quelconque revendication avant de commencer des mouvements lents mais appuyés. Son souffle chaud me chatouillait la nuque et ses mains caressaient mon dos et mes fesses. Je me sentais de plus en plus à l'aise, et il accéléra progressivement. Mon corps était en ébullition total, tel un brasier s'attaquant à une grange rempli de paille. Toute raison ou réflexion m'abandonnait et je me laissais entièrement aller dans ses bras. Je poussais des soupirs de plaisir et de satisfaction en soufflant son nom. Le mouvement était toujours plus rapide, nous transpirions mais nos corps ne semblaient faire plus qu'un. Les yeux fermés, je m'entendi lâcher des petits gémissements tandis que la voix rauque de mon partenaire sifflait mon nom.  Je tirais sur les racines de ses cheveux et il grognait au-dessus de moi. Dans un dernier mouvement puissant et profond, il termina. Après s'être retiré, il s'écroula à ma droite. Mon souffle était tellement saccadé qu'on pourrait croire que je vennais de courir un marathon. 

Game Of Seduction: 122 jours pour te séduire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant