46. Sabri

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- Un mois plus tard.

J'étais enfin guérie, j'étais bien mais j'avais la haine. J'avais pas oublier qu'on avait touché ma femme, je me suis lavée, j'ai dis au revoir à ma psy et je me suis taillée et devant l'hôpital il y avait ma meuf.

Je l'ai pris par les hanches et je l'ai embrassé amoureusement, elle me rendait fou. Je l'aime.

J'ai poussé ses cheveux et j'ai regardé son visage, elle avait encore quelques cicatrices. J'ai embrassé son front puis je suis monté côté conducteur après avoir mis mes sacs dans le coffre.

je l'ai regardée s'attacher.

Moi : Quand je serai en train de le niquer ne sépare pas.

Cassy : Bébé ..

Moi : - la coupe - Non Cassy. Je te parle sah la, ne sors même pas de la voiture.

Elle a baissé la tête et n'a rien dit. Déjà que moi j'ai giflée ma femme je m'en voulais lui il l'a déformée.

J'ai accéléré jusqu'au parking abandonné, je savais qu'il était. Il est toujours là, ça m'a prit une heure avant de le trouver mais quand je l'a vue au loin j'étais soulagée.

Avant de le niquer j'avais besoin de me détendre, j'ai baissé mon siège et j'ai mis Cassy sur moi, on est restée couchée.

Moi : - murmure - Je t'aime, je t'aime putain.

On s'est embrassé, vous connaissez la chanson. Deux trois smack rapide puis une grande galoche. J'ai caressé ses cheveux doucement comme pour la détendre elle aussi.

J'allais frappé B4S, j'allais lui faire mal. Ça allait être violent, elle allait avoir peur.

Moi : Allez bébé, passe côté passager.

Cassy : - se remettant - Tu fais gaffe.

Moi : - La fixe - Même si tu penses que je suis en train de le tuer tu ne sors pas de la voiture Cassy okay?

Cassy : Hm..

Je suis sorti de la voiture, j'ai verrouillé les portières puis je suis allez devant B4S qui était en train de fumée. Si il était pété, j'allais pas le frapper. Je voulais qu'il soit sobre, qu'il sache ce qu'il lui arrive, qu'il ai mal.

Moi : T'es pété ?

B4S : Pas encore. - Tire une taffe -

J'ai pris son bédo, je l'ai jeté par terre. Il regardait que des pieds donc il ne savait pas que c'était moi, mais quand j'ai pris son bedo il a levé les yeux vers moi.

B4S : Ah.. Béné.

Y'a plus de Béné.

Moi : La première fois que tu l'a vus, on était ici, je t'ai dis de ne pas la regarder. Je t'ai frappé parce que tu l'a traité de pute, tu cherches quoi?

Il a froncé les sourcils.

Moi : T'a oser la touché B4S, t'a oser. Je te l'ai dis qu'elle m'appartenait - s'approche de lui - Je te l'ai dis ou pas ?

B4S : Ouais.

Moi : - lui fou un poing - alors pourquoi tu l'a touche - Lui met une droite - Pourquoi hein ?

J'attendais même pas qu'il réponde que je l'enchaînais, droite, droite quand j'avais mal gauche gauche, chassé, écrasement de tête.

Quand il était au sol je me suis mis sur lui, que des poings dans sa gueule quand j'ai sentie une main, je me suis retournée, c'était elle.

Cassy : S'il te plaît Sabri ! - voix qui tremble -

Je me suis directement levée et je l'ai pas calculée. Je suis allez dans la voiture et j'ai attendu qu'elle rentre. J'ai regardée mes mains qui étaient égratignée puis j'ai frappé le volant. Cassy a accéléré le pas puis on est allez à la maison.

J'ai pris mon sac qui était dans le coffre, je suis rentrée à la maison sans trop calculée Cassy, je suis directement allez sous la douche et j'y suis restée trente minutes.

J'ai mis mon caleçon et je suis allez dans la chambre me coucher, Cassy est venu se mettre à califourchon sur moi et à prit mes mains pour les soignée. Elle était pile sur mon entre-jambe, elle m'excitait.

Elle m'a regardée quand elle a senti que je commençais a bander, elle a poser les désinfectant et est venu m'embrasser.

En moins de dix minutes elle était déjà nu, bref on a fait notre truc tranquille puis on s'est endormi.

𝖤𝗅𝗅𝖾 𝗆'𝖿𝖺𝗌𝖼𝗂𝗇𝖾 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant