_ Un mois après
J-J, les parents adoptives de Cassy sont venue exprès de loin pour venir me rencontrer, moi qui mettais toujours des survêtement j'avoue que aujourd'hui j'ai caler le jean et la chemise. Il fallait bien faire bonne impression, surtout que c'était le première fois quoi.
J'avoue que j'étais stressé, je
me rappelle au début je ne pouvais pas voir Cassy en photo et je ne pouvais pas la toucher non plus et aujourd'hui je vais rencontrer ses parents et elle est enceinte de moi .. Vous savez pas à qu'elle point j'sui heureux la.Je me suis dirigée vers la cuisine puis j'ai vue Cassy en train de faire à manger, je me suis assis sur les chaise haute face à elle et j'ai soupiré.
Moi : Tu sais pas à quel point j'suis stressé Cassy, wAllah.
Cassy : - sourit - Ca va bien se passer, mes parents c'est des perles rares. Ils sont gentils.. Et puis t'es une bonne personne alors c'est bon.
Moi : Ouais mais bon .. - soupire - J'sais pas. Insha'Allah ça se passe bien.
Cassy : Y'a aucune raison que ça se passe mal Sabri. - Se retourne et me regarde - Hm?
Moi : Ouais - hausse les épaules - T'a raison ..
Vers midi trente les parents de Cassy sont arrivé, on a parlé vite fait, j'étais à l'aise donc ça le faisait. Vers Quatorze heures on s'est mit à table, j'étais en face de ses parents et à côté de Cassy, on parlait de tout de rien..
Père de Cassy : Elle est bien ta maison..
Moi : Merci. - sourit - C'était la
maison de mes parents.Mère de Cassy : Hmm, en tout cas elle est très charmante.
Moi : Bien vu..
Père : Sinon, parle moi de toi avant d'avoir rencontré ma fille.
J'ai regardée Cassy puis elle
m'a hochée la tête positivement. J'allais pas tout leurs dire mais j'allais quand même dire le nécessaire. J'suppose qu'ils ont le droit de savoir.Moi : Je suis un ancien vendeur de drogue.. Je suis un ancien braqueur, ancien TDM, ancien jeune de cité. J'avoue que mon passé n'est pas très beau, j'ai fais des choses que je regrettes, j'ai fais des choses que j'essaie d'oublier, j'ai dis des choses à des gens que même le Diable n'avait pas pensée et je regrettes. J'assume, de toute façon ce qui est fait est fait mais le principal c'est que grâce à Cassy j'ai changer, j'ai eu des séquelles, problèmes etc qu'elle a su accepter et qu'elle m'a aidée à surmonté.
J'me suis mordu la lèvre, c'est fou les sentiments que j'éprouve pour elle.
Moi : J'ai pas un beau passé mais j'ai changé, pour Cassy, pour moi mais surtout pour nous.
Dis-je en regardant le père de Cassy dans les yeux.
Pere : J'avoue que ce que tu m'as dit ne me plait pas trop. Je ne juge pas le fait que tu faisais tout ça, chacun ses problèmes. Mais étant un ancien mec de rue je sais tout ce que cela provoque. - soupire - Rue = problème.
J'ai pas répondu je l'ai juste fixée. En une phrase il peut tout arrêter.
Père : Mais je vois que tu es prêt à tout pour la protéger.
J'donnerai ma vie pour elle.
Père : Donc je veux qu'elle reste à t'es côté. Tant qu'elle en sécurité avec quelqu'un qu'elle aime je peux pas rêver de mieux.
Mère : T'es quelqu'un de bien - sourit - Ca se voit.
Moi : Cassy est en sécurité avec moi, je ne laisserai personne la toucher. Vous en avez ma parole.
Il m'a sourit puis on a parler, parler jusqu'à vingt-trois heures. On a rangée le salon et vers minuit on avait tout fini, j'étais trop fatigué mais pas Cassy apparement.
Cassy : - me secoue - Dort paaaaas ! Je veux voir les feux d'artifice !
Moi : Wesh Cassy j'suis faya, c'est mort. Une autre fois !
Cassy : Mais s'il te plaît bébé wesh !
Moi : Wesh pas.
Cassy : Mais hmmm.. Je veux y allez aujourd'hui avec toi.
Je l'ai fixée pendant une minute, putain elle est chiante.
Moi : Mets tes chaussures c'est bon.
Je me suis mis un survêtement puis on est allez direction les feux d'artifice. On s'est mit tout devant, elle était devant moi, j'avais mes mains autour de sa taille, j'ai embrassé son cou puis on regardait tranquillement les feux d'artifice.
Fin moi je m'en battais les couilles mais comme elle m'expliquait un truc sur ca je faisais genre je m'intéressais parce que sinon elle allait bouder ..
On est ensuite rentrée vers deux heures treize du matin, on s'est lavé chacun notre tour puis elle est venu se posticher dans mes bras. J'ai embrassé sa tempe puis on s'est directement endormi.