J'étais dans le bureau de mon psy, j'avais les mains dans les poches de mon jogging, la tête baisser et une envie d'un teh, évidement dans dans cet hôpital il était interdit de fumer.
J'écoutais à peine ce que le médecin me disait a part quand il a poser plusieurs médicament et plusieurs seringues à côté de moi.
J'ai levé la tête et j'ai arqué un sourcil. Il veut que je fasse quoi avec ça wesh?
Médecin : Un avant chaque repas et le seringue tu te l'injecte avant de dormir.
J'ai pas répondu et j'ai fixée les medocs. Donc c'est réel ? Il me prenait vraiment pour un malade ?
Médecin : Je te laisse allez dans la salle derrière, tu t'allonges sur le canapé un psy va venir te voir.
J'ai pris mes médicaments, je suis allez sur le canapé puis j'ai fermée les yeux. Au moment où j'allais dormir elle est venu, je l'ai regardée.
Psy : Bonjour, alors aujourd'hui ça va être simple. Tu vas me parler de ce que tu veux mais tu vas commencer par le passé et terminer par aujourd'hui. Ton enfance, adolescence et maintenant.
J'ai fais une minute de silence et j'ai commencée mon monologue.
Moi : Bah mon enfance elle était tranquille, mes parents ils étaient pas trop strict et tout ce que je voulais je l'avais, mon père il était riche et avait sa propre entreprise mais je vivais à la cité, j'ai fais ma maternelle, mon collège la bas et j'ai arrêté l'école. J'ai toujours eu qu'un seule pote, les autres des connaissances. Mon ami il s'appelle Macha, - sourit - C'est un frère, quand j'ai perdu mes parents c'était le seul qui était là pour moi.
J'ai regardée la psy, elle notait plus rien sur son cahier. Elle semblait absorbée par mon histoire alors que je venais juste de commencer. Je me suis assis sur leurs canapé, j'étais fasse à elle.
Moi : Macha il a vue ma transformation. Vous savez à la cité c'est rare que quelqu'un se fasse appeler par son vrai prénom, moi c'était Béné et lui Coca.. On était un duo de choc. Chaque Gardav on les faisait ensemble, chaque braquage on les faisait ensemble, on a commencée à bibi ensemble. Le seul truc que j'ai fais sans lui c'est la prison.
Psy : Bibi? - fronce les sourcils -
Moi : Je vendais de la drogue quoi.. - hausse les épaules - Et j'en vends toujours.
J'ai commencée à sourire parce que pour finir mon monologue il fallait bien terminée par elle. Je me suis mordu la lèvre.
Moi : Et puis elle est arrivée, une simple meuf qui était posée à l'arrêt du bus et j'avais juste kiffer comment elle s'était habiller, elle était simple. Que ce soit dans son maquillage ou dans ses habilles, elle en faisait pas trop. Je penses que c'est le Mektoub qui l'a mis dans ma vie.
La psy elle a commencée à sourire, elle était attendrit par ce que je racontais. Dire que de base je croyais pas au destin.
Moi : On s'est vue après a l'endroit où je devais vendre de la drogue, dans un centre commercial, on est allez manger ensemble ce jour là et puis je l'ai vue chez moi, Macha avait organisé une fête et elle était là. Après ce jour là je pouvais plus me passer d'elle, même quand j'allais vendre elle était là.. Plus les jours passaient plus je tombais pour elle.. Elle m'fascine, elle est parfaite. W'Allah je l'aime et c'est pour ça que aujourd'hui je suis là ..
Psy : Pourquoi ?
Moi : Parce que je devenais violent avec elle a cause de Béné.. J'étais à la limite d'être schyzo et c'était soit elle soit Béné.. Vous captez le choix que j'ai pris.
Psy : - sourit - C'est une histoire très passionnante, surtout le passage avec ta Madame. On se donne rendez-vous demain?
Moi : J'ai le choix ?
Psy : - rit - Pas vraiment. Allez à demain.
Moi : Ouais ouais.
Je suis allez dans ma chambre et je me suis mis directement torse nu, j'suis restée en jogging et je me suis couchée sur mon lit.
J'ai à peine fermée les yeux que la porte s'est ouverte. J'ai fais semblant de dormir parce que je savais que c'était un médecin. Le gars il est venu s'assoir à côté de moi, j'ai pas calculer mais quand il a commencée à caresser mon dos je me suis retournée pour le cogner, eh j'vous ai dis j'suis pas Bilal Hassani moi.
J'ai ouvert quand les yeux quand ma femme était à côté de moi.
Je l'ai directement prit dans mes bras, je l'ai couchée sur moi et je lui faisait des bisous dans le cou. Après trois minutes de câlin, je me suis assis dos contre le mur et je l'ai mise à califourchon sur moi, j'ai mis mes mains autour de sa taille et pas besoin de parler, on s'est directement galoche. Ça m'avait manquée, j'avais besoin d'elle wAllah, je l'embrassais je mettais tout mon amour dedans puis elle s'est détaché de moi.
Moi : Je t'aime tellement Cassy wAllah j'suis désolé. Tu sais très bien que je t'aurai jamais fais de mal, j'étais pas moi même.
Cassy : - sourit - Chut.. Dès que t'a accepté d'aller dans cet hôpital pour moi tu t'étais déjà excusée. Moi aussi je t'aime Sabri, c'est pour ça que je te laisserai pas.
D'un coup un souvenir m'est revenu, le jour où elle vomissait beaucoup. Je l'ai regardée elle puis son ventre.
Moi : En fait depuis la dernière fois la, t'a plus mal?
Elle a sourit et a prit ma main, elle l'a posée sur son ventre. J'ai ouvert grand les yeux, ça veut dire quoi ça?
Cassy : - rit - Non.. C'était juste mes règles.
J'ai ris et je l'ai frappée. Elle m'a fait peur wesh j'ai cru elle était enceinte cette vielle meuf.
Cassy : Bon je vais te laisser - Me fait un bisou - Apparement y'a quelqu'un d'autre qui veut te voir.
Moi : Tu reviens demain?
Cassie : Je peux pas bébé, c'est une fois dans la semaine.
Je me suis levé, je l'ai collée à moi, je lui ai fais deux trois smack puis je l'ai laisser partir. Dès qu'elle est parti j'étais déjà plus heureux, sa présence elle me faisait énormément de bien.
D'un coup Lydia est entrée dans la chambre et m'a serré dans ses bras.
Moi : Wesh calme toi.
J'étais pas encore habitué à être affectueux avec une autre fille que Cassy. Elle s'est détaché de moi et a mit une chaise devant mon lit, on était face à face.
Lydia : Ça va mon bébé ?
Moi : hm.. Bah.. Ouais. - fronce les sourcils - Comment t'a su?
Lydia : Bah vue que je suis officiellement ta soeur, quand t'es venu ici ils ont voulu prévenir ta famille, donc moi.
Moi : Ah.. Au calme.
Lydia : J'ai croisé Cassy - sourit - Elle est vraiment belle.
Moi : - sourit - Ouais.. Elle est parfaite même, tu peux le dire.
Lydia : C'est marrant, tu parles d'elle comment papa parlait de maman.
J'ai souris vite fait, ça m'a rappelée des bons souvenir. On a parler encore vite fait puis elle est parti. Il manquait que Macha et ça allait être parfait.
Bref quand elle est pari j'ai dormi direct, je me suis pas fait priée.