Ce tortiller, prendre la fuite, plus rien n'est possible quand la porte s'ouvre dans un grincements sinistre. L'ombre glisse, se faufile, elle est invisible, elle n'est qu'un courant d'air léger qui hérite de frayeur les poils de ta nuque. Elle n'est qu'un pas lourd sur un parquet vieillissant, peut-être que ce n'est rien. Peut-être que tes cauchemar d'enfants ne ce sont tout simplement pas encore tout a fait volatilisés. Inspire... Expire...
L'ombre se balade, laisse glisser ses yeux sur ta silhouette sereine et endormie, du moins c'est l'impression qu'elle donne. Immobilisé, plongé dans un méli-mélo de couette et autres draps. Tu sens chacun de ses gestes, chacune de ses respiration venant te chatouiller les cheveux.
Inspire...Expire...Encore et encore, ça va passer, il va s'en aller.
Pourtant, il ne disparaît pas tout de suite. Tu voudrais bouger, crier d'horreur mais plus rien ne répond, Chacun de tes menbres crispés à l'extrême sont paralysés. Il est proche tu le sais, tu le sent, pourtant tu es dans le noir complet. Tes paupières resté collées, sont elles aussi pétrifiés. Tu ne vois rien mais tu entends tout comme si tout les sons autour de toi était chuchotés a quelques centimètres de ton oreille. Et quand le metelas grince sous un poids et qu'une froideur extrême te gèle le dos. Tu retiens ta respiration, tu ne peux rien faire de plus. Il est là, n'importe qui, n'importe quoi. Ce n'est pas réel bien sûr, pourtant ça semble bien l'être. Alors tu attend, il ne bouge pas. Tu te demande presque s'il est vraiment la. Seul sa respiration te signale sa présence. Alors tu pend ton courage à deux main. Inspire...Expire...Inspire...Expire.
Tu pousses sur tes paupières autant que tu peux et tu parviens à peine à les entrevoirs.
Inspire...Expire...
À ce moment précis ouvrir les yeux te semble être une des choses les plus compliqué à faire. Pourtant tu continue d'essayer, brusquement tes yeux s'ouvrent. Simultanément ton corps se réveille dans un sursaut et dans un réflexe, d'une main engourdi tu allumes t'a lampe de chevet.
Mais il n'y a personne, tout le monde dort. Tu es seul.
Un simple cauchemar.
Incapable de dormir, tu essaye de t'occuper. Tu es fatigué, comme si tu n'avais absolument pas dormi et tu sais déjà que toutes les fois où tu fermera les yeux, tu ne dormira jamais vraiment tranquillement.************************************
Bonjour petits hiboux !!!
J'espère avoir reussi à faire peser une ambiance lugubre avec ce petit texte.
Je dédicace se petit texte à mes gentilles paralysie du sommeil, qui me bouffe mes nuits 👍( saloperie de paralysie du sommeil ).
Et je fais un petit coucou par la même occasion au personnes insomniaque .Au moins le bon côté à tout ça c'est que au moins, maintenant personne ne pourra dire que je ne suis pas un hibou !
Bye !!!!!!!!!!!!!
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Rant book d'un hibou râleur
CasualeLivre ténu dans une sombre jeunesse, vous risquez d'être profondément géné par moi adolescente. /!\ Attention il ce pourrait que ce rant book, soit tenu par un hibou, fans de hiboux /!\ Voici la vie d'un hibou, qui à comme passions râler, dormir et...