Chapitre 8

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Je suis sur le canapé et dans un silence presque anormal, je remarque que je suis seul. Stiles m'a posé un lapin. Il c'est barré sans même que je le remarque.

L'ENFOIRÉ !

Je me concentre sur son odeur et prend ma voiture suivant celle-ci. Je vais en forêt. Une fois arrivé je le vois au loin et fait rugir mon moteur. Il commence à fuir mais je lui coupe chemin en passant devant lui. Il tombe par terre et je sort de la voiture, d'une colère sans précédent.

- TU ES INCONSCIENT ! TU AURAIS PU TE FAIRE TUER ! TU N'ES QU'UN ÉGOÏSTE !
- Derek...
- TAIS-TOI ! TU LA FERMES ET TU MONTES DANS LA BAGNOLE !
- NON ! JE REFUSE DE RESTER UNE SECONDE DE PLUS AVEC UN CONNARD COMME TOI ! JE PRÉFÈRE ENCORE CREVER !

Mes yeux bleues brillent tellement ma colère est puissante.

Il me fusille du regard, me faisant grogner. Je le colle violemment contre la portière et dans un élan, je l'embrasse, le faisant surprendre.
Sans demander son avis, je met violemment ma langue dans sa bouche et joue durement avec sa langue. Il gémit et je sens son membre se réveillé. Il passe ces bras autour de ma nuque tandis que j'ouvre la portière et le jette violemment à l'intérieur.
Je me met sur lui et déchire son haut avant de retirer le mien. Ma bouche parcoure son torse, y déposant des suçons pour montrer qu'il m'appartient.
Puis je le mets à nu et voyant son visage gêné, je fait de même.
Je le fait ce mettre à quatre patte et lui flippant, me dit,

- Derek.... Je n'ai...

Je lui claque la fesse pour le faire taire, me faisant ainsi gémir. Je lui appuie sur le bas du dos, pour mieux faire ressortir ces fesses. Je le prépare rapidement et fini par rentrer en lui. Je remarque immédiatement la douleurs qu'il ressent, et une fois arrivé bien au fond, je m'arrête, pour que son cul s'habitue à mon puissant engin. Je dépose sans savoir pourquoi des baiser le long de son dos, et une fois habitué, il bouge des hanches, me faisant signe que je puisse y aller.

Je bouge rapidement pour nous mener rapidement a l'orgasme. La voiture n'est plus qu'un endroit de plaisir, où gémissement et grognement de plaisir ne sont que présent. Une fois avoir tout les deux jouis, je me retire et m'assoit en silence, il dit de même.
L'atmosphère est pesante et il décide d'y mettre fin.

- Derek...
- Ça ne veut rien dire.
- Tu as couché avec moi, ça veut forcément dire quelque chose.
- Un trou est un trou.

Je reçoit soudainement une gifle d'une puissance que je n'aurai jamais soupçonné chez Stiles. Il fui de la voiture et étant un peu sonné, je mis un temps avant de le suivre.
Je sort de la voiture et ne cesse de l'appelé.

-STILES ! STILES !

Perdu..je l'ai perdu...

The sour wolf and the humanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant