8.

60 8 0
                                    

Le lendemain matin, au réveil je pense que je me suis senti comme dans hands to myself de Selena Gomez avec le soleil qui me frappait directement le visage et mon pyjama trop cool que m'a acheté ma mère à l'époque où elle avait encore un soupçon de goût. Je dis bien un soupçon... Et même là je mâche mes mots. Passons, je descends du lit et me rend dans la salle de bain et m'aquiet au rituel du matin. Ensuite, je descends dans la cuisine où je retrouve mon beau Chuck déjà à table.

-Merci de l'attente. Dis-je en réchauffant le café.

Il lance un sourire qui ne m'est pas destiné je suposse.

-Mais de rien.

Mon regard fait le tour de la pièce à la recherche de morceau de pain ou d'un gâteau bref un truc quelconque à prendre avec mon café.

-Il n'y a pas de pain ? Lui demandais-je 

-Aucune idée. Quand je me suis servi, il me semble que s'était le dernier morceau. Et ce sourire diabolique apparaît sur son visage, je crois que c'est la fin pour moi. Donc vu les événements, poursuit-il. J'en conclut que c'est terminé.

Je pense que je vais tué ce garçon, je pense que je l'aurais déjà fais s'il n'avait pas été si beau. Je respire.

-Où puis-je en trouvé dans ce cas ?

-À l'autre bout de la rue. Ou tu peux aussi en faire; la farine ne manque pas ici.

Il aime ça, il aime m'énerver et me voir agacée. Ce jeu a assez duré.

-Indique moi l'endroit où je peux en acheté.

-Je ne m'en souviens plus. Sors et demande aux arbres. Dit-il en disparaissant à l'étage.

Je prends mon courage à deux mains et sors de la propriété après avoir enfilé un trench blanc en cuir. Il fait un froid de chien, et la rue est complètement déserte. Si je me fais attaqué il n'y aura que les arbres comme témoin.

Je traverse la rue comme l'a dit Chuck et j'aperçois l'épicier non loin en face à côté de cette boutique de chaussure. J'entre, et je me rends compte que la file est super longue, je vais y passé la journée. Et. Comme si ça suffisait pas, une vielle dame arrive en m'inplorant de lui cédé ma place, évidemment je le fais. Si seulement j'avais su que c'était la grande mère de Jade; la fille que je détestais au lycée, je l'aurai poussé et coincé dans la porte automatique.

Quand je rentre, je n'eus plus l'envie de mangé, Chuck se proposa de donner le pain au chien des voisins pour d'après lui  <<éviter le gaspillage>>, il avait tout prévu depuis le début. Ça m'énerve. Il m'énerve. Plus que deux jour et je pars d'ici, avec une énorme somme d'argent, de plus son état ne c'est pas dégradé une seule fois depuis mon arrivée. Il peu aussi guérir je pense. J'en suis certaine.

                           *           *
                                  *

En rentrant à la maison, je me rends compte qu'il y'a du monde : Gayle. À elle seule, elle fait un grand nombre de personne. Je gare ma voiture à l'entrée, flemme d'ouvrir la porte du garage.

-Salut la compagnie. Dis-je sans un seul sourire en entrant à la salle à mangé, tout le monde mange.

Gayle me saute dans les bras ainsi que ma mère.

-Tu va bien ? Demande maman pendant que je m'asseois.

-J'ai eu des jours meilleurs. Répondis-je.

Elle me tend un morceau de pain que je refuse immédiatement. Chuck m'a dégoûté du pain et des vielles dames.

-Raconte nous comment ça se passe avec le malade.

-Il me rend malade. Au sens propre du terme je précise.

Elles me regardent abasourdi pendant que je fais semblant de ne pas remarquer leur murmure parce que je m'en bat les couilles.

Après le dîner, on regard Black Panthers puis je monte me coucher. Il venait à peine d'être vingt heure, avec Chuck c'est une dépense perpétuelle d'énergie.

Cependant, vers minuit, j'entends des cailloux tombés sur ma fenêtre. C'est qui ce bâtard ?! J'enfile mon peignoir et ouvre les fenêtres et je  vois la maman de Chuck debout devant sa voiture.

-Mais.... Dis-je assez étonnée.

Elle me fait signe de descendre, je m'exécute. Et elle me prend dans ses bras quand je descends avec Gayle.

-Qu'es-ce qu'il y'a ? Je demande.

-Je ne connais personne ici, mon mari est décédé il y'a deux ans. Vous êtes la seule personne que je connais.

-Je commence à avoir peur, qu'es-ce qui se passe donc ?

-C'est Chuck... Il

-Quoi il est quoi ?! Une angoisse me monte au visage. Putain.

Colleen.[EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant