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Les jours qui ont suivis étaient les plus palpitants et rempli d'émotions. Chuck est la personne la plus imprévisible que je connaisse, il est très direct et sincère. Je marchais sur les oeufs avec lui, chaque mots que je prononçais étaient miticuleusement analysé et commenté par lui; il avait l'art de m'agacé et de me fermé mon clapé. Je me souviens d'ailleurs du soir où, sans le savoir  je suis arrivée avec un paquet de cigarette chez oui; il m'a regardé de haut en bas et a sourit avant de me fermé la porte au nez. Quel connard. J'ai donc été obligé de resté dehors jusqu'à ce que l'odeur de la fumée se dissipe de mon corps... Ce qui a abouti a un énorme rhume que j'ai attrapé à force d'être rester aussi longtemps dehors.

-Reste prêt de la cheminée. M'avait-il dit quand l'odeur a enfin disparu. Ça va te réchauffé un peu.

Je m'exécute sans trop discuter pendant qu'il s'asseoit devant la télé en face de moi.
  La tension aura été sans aucun doute palpable et silencieuse si ce truc ne c'était pas produit: le compteur a sauté.

J'hurle littéralement dans la pièce et Chuck me balance violemment une pouf sur le visage et allume une bougie avec le feu de la cheminée. Je m'asseois à côté de lui. Je me fiche de ce qu'il pense, j'ai horreur du noir il est hors de question de faire la dure de tête dans ce genre de situation. Il ne m'a jamais considéré de toutes façons.

-Je n'arrive pas à croire que vous soyez si peureuse. Articule Chuck après que j'eu passé mon bras autour de sa taille quand le tonnerre a grondé et qu'il m'eus repoussé aussi tôt.

-Chacun a ses peurs M. West. Me défendis-je en l'enroulant à nouveau autour de sa taille. Et vous ? Quelles sont les vôtres ?

Il me repousse sans considéré ma question et allume une bougie qui n'éclaire qu'une minuscule partie de la pièce. Je m'enroule sur la couverture et m'assoupi.
   Chuck était sur son ordinateur pendant que moi je priais intérieurement pour que ce fichu courant revienne et que je me barre enfin d'ici... Mais cela ne fit pas le cas, le courant n'était toujours pas revenu vers une heure du matin et la mère de Chuck m'a envoyé un texto me disans de passé la nuit au côté de; je cite <<son petit sucre d'orge>>. Pathétique.

-Ta mère vient de t'appeler sucre d'orge frère. Lui dis-je avec un éclat de rire qui lui fit sursauté.

-Je ne pense pas que c'est le cancer qui va m'achevé, mais plutôt toi. Réplique-t-il avec ironie sans me regardé.

-Va chié.

-Ouais, et comme ça tu seras seule ici dans le noir avec les esprits qui hantent cette maison... Tu n'as jamais eu une idée aussi révolutionnaire. Juste fière de toi.

J'avoue qu'il n'avait pas tord, ça craint je suis en panne de vannes aller Chuck West; achève moi une bonne fois pour toute.
    Il n'en fit rien, rien du tout. Aucune vanne. Ça en devenait énervant.

Après lui avoir donner ses médicaments, j'ai demandé à dormir.

-Prend ma chambre, il y'a une lumière automatique...

-Et toi ?

-Je n'ais pas sommeil. Et je pense que je vais attendre maman.

-Est-ce que mes oreilles fonctionnement bien ?!?

Il me regard bizarrement et se détourne quelques minutes plus tard; dans dire un seul mot... Une première.

-Bon bah bonne nuit, dis-je en mz dirigeant vers sa chambre.
  Il hoche la tête et je pu remarqué le légé sourire qui se dessine sur son visage, il m'a sourit ? Omg...

Colleen.[EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant