Projet éveil [FR]

Chapitre 28 : Guerre de nourriture

Point de vue de Mélodie

Après quelques heures passer au magasin, Jonathan et moi décidions de rentrer. Pour être honnête, je ne pensais pas qu'un homme comme lui aimait faire les boutiques pendant des heures juste pour hésiter entre deux habits quasiment similaires ! Mais j'étais contente d'avoir enfin trouvé quelqu'un comme moi pour ce genre de choses.

Moi : C'était une chouette sortie, n'est-ce pas ?

Jonathan : Mouais...Mais même si ont à un point commun et des gouts pour la mode similaire, sache que je te trouve toujours aussi chiante et inutile ! S'exclame le jeune homme en essayant de bien transporter tous ces sachets de vêtements, je l'aurais bien aidé mais il refusait mon aide.

Moi : D-d'accord.

Même s'il était assez dur avec moi, j'aimais passer du temps avec lui. Il était amusant à certain moment, enfin...Assez rarement. Cela allait être compliqué mais j'étais déterminé à faire de lui quelqu'un de plus appréciable ! Le fait de trouver un point commun avec lui était un grand pas vers mon objectif. Perdu dans mes pensées, je ne me rendis pas compte qu'un de mes sac m'avait échapper des mains et fatalement je m'en suis rendu compte lorsque j'avais trébucher dessus.

Moi : Aïe...

Jonathan : Toujours aussi empoter, c'est pas possible...Soupire le jeune homme roux en ramassant mes sacs. Aller dépêche-toi de te relever, on doit se grouiller de rentrer, ajoute-il en partant devant toujours en portant mes sacs alors j'obéit sans rien n'ajouter.

Une fois devant la porte de la maison, j'ouvrit la porte et aperçut un véritable champ de bataille ! Carla et Florentin était dans le salon en train de se balancer de la nourriture dessus !

Carla : Prend ça, face de brocoli ! S'exclame la scientifique en lançant des épinards a la figure de son collègue qui n'a pas eu le temps d'esquiver, alors comme ça tu aimes le vert ? HAHAHA ! Ben tu es servi !

Florentin : Ah oui ? Attends-toi à ma vengeance suprême !

Le deuxième scientifique présent s'essuie le visage et s'empare d'une tarte à la crème posé sur la table. Il la lance par terre et la piétine de toute ces forces. Un véritable sacrilège pour la pauvre Carla qui s'effondre au sol en hurlant.

Carla : NOOON ! Cette guerre à déjà fait trop de victime !

Florentin : Abandonne ou il y en aura encore d'avantage !

Carla : Jamais ! Je ne peux pas abandonner ! Je dois honorer mes camarades tombés au cours de la bataille !

Jonathan : ...Putain, il se passe quoi ici ?! On est parti pendant moins de 2 heures, merde !

Moi : ...C'est dangereux de laisser Carla seule apparemment.

Jonathan : Aaarrr...J'en ai déjà marre. Mélodie, je te laisse laver et ranger mes nouveaux habits. Moi je vais travailler dans ma chambre.

Moi : Oui, bien sûr, b-bonne soirée à toi !

Jonathan déposa les sacs d'habit sur le canapé et monta les escaliers puis disparut dans sa chambre. Carla sa tourna vers moi et s'exclama :

Carla : Oh ! Tu es rentrée ! Regarde, Florentin est venu nous rendre visite !

Moi : Je vois ça...J'espère que vous aller nettoyer toute cette pagaille...

Carla : Ne t'inquiète pas, Florentin c'est porté volontaire pour le faire.

Florentin : Oui oui, euh...Attend, j'ai dit ça ?

Moi : Carla, arrête de l'embêter et travaille avec lui pour une fois.

Carla : Pppfff.... Ok, dit-elle avec un peu d'hésitation dans la voix.

Moi : C'est bien.

Je lui lançai un sourire pour l'encourager à commencer le travail et apparemment cela marchait. Je m'apprêtais à aller laver les habits récemment acheter lorsqu'une nouvelle personne s'invita dans la maison.

Laurine : Les filles ! J'ai besoin de votre aide ! Flo a ...Dissss...paaa...ruuut...AAAHH, MAIS TU ES LA ! S'exclame-t-elle en courant vers son amour, ce dernier accepte sa venue et l'enlace dans ces bras. Je suis tellement tellement désolée de t'avoir criée dessus !

Florentin : Ne t'inquiète pas, moi aussi je suis désolée d'avoir était aussi susceptible.

Moi : Euh...J'ai loupé un épisode ?

Carla : Oh, je t'expliquerais plus tard. Cupcake ? Demande-t-elle en me tendant un cupcake au glaçage rose fluo et en croquant dans un autre au glaçage bleu et couvert de vermicelle rouge.

Moi : Tu sais bien que manger aussi tard c'est très mauvais.

Carla : Mais c'est trop booonn.

Moi : Pas de discussion, c'est pour ton bien.

Carla : Rooohh, d'accord.

Je me tournai vers les deux amoureux, toujours en train de s'enlacer.

Moi : Vous comptez rester ce soir ? Leurs demandais-je avec un grand sourire.

Florentin : Nan, on ne va pas vous déranger plus longtemps. J'aide Carla à nettoyer et on part.

Laurine : Oui et on doit encore nourrir un alcoolique dépressif ce soir.

Florentin : Oh, c'est vrai ! Il est tous seul là.

Moi : Vous devriez y aller, ne vous inquiétez pas, Carla et moi on s'occupe des nettoyages.

Carla : C'est pas juste !

Florentin : Vraiment ? Ah ben, merci c'est super cool ! Alors ont y vas, au revoir et passer une bonne soirée !

Laurine : Bye bye. Et merci de vous être occupé de lui.

Moi : Au revoir !

Les deux traversèrent la porte et je me tournai vers la pagaille dans le salon. Je sentais que j'allais passer une nuit blanche avec Carla, sans compter les habits que je devais laver.