Chapitre 33 : Une paix envisageable

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Carla : Calme-toi, Laurine, dit la jeune fille brune en mangeant une part de son gâteau à la fraise.

Moi : Me calmer ? Comment je peux me calmer alors mon petit copain et mon meilleur ami son aller voir le chef de nos ennemis juré pour essayer de le rendre « gentil » ?! Ont dois faire quelque chose !

Carla : Mais ne t'inquiète pas, je suis sûre que ces deux crétins s'en sortirons...Malheureusement...

Carla goba un autre morceau de gâteau et une personne entra. Jonathan.

Carla : Tu as enfin fini d'enculé Kévin ? Tu aurais pu te retenir : on l'a entendu crier jusqu'ici. J'aurais dû emmener Mélodie, elle aurait bien aimé ce petit yaoi...Ironisa la jeune scientifique.

Jonathan : Premièrement : quand j'ai dit « enculé » ça voulait dire « atomiser », « pulvériser », « détruire » ou encore « tuer », tu vois ? Logique qu'il a hurlé. Et deuxièmement : Qu'est-ce que j'ai louper pendant que je tuais Kévin ? Laurine à l'air assez stressée.

Carla : Les deux autres crétins sont partis chercher Rollan pour le remettre sur le droit chemin.

Jonathan : Ah c'est tout ? ...Attend...T'as dit quoi ? Ils sont allés où, ces idiots ?!

Carla : A la base de l'armée R.F.

Jonathan : Oh putain, je vais aussi les tués eux...Ils sont cons ou quoi ?!

Jonathan se mit à fouiller dans sa poche et en sortit son téléphone.

Moi : Qu'est-ce que tu fais ?

Jonathan : Je contacte nos supérieurs, je ne sais pas vraiment quoi faire dans ce genre de situation.

Au moment où Jonathan allait appeler les personnes dont il parle, un bruit survint en direction de la porte d'entrée. La porte s'ouvrit et deux personne entrèrent. En les voyant, mon cœur se remplit de joie et mon stresse se volatilisa. Je finis par leurs sauter dans les bras.

Moi : Flo ! Matt ! Je suis tellement soulagée de vous revoir ! C'était quoi votre plan en allant là-bas, sérieux ?!

Florentin : Ont voulaient juste parler à Rollan, et notre plan à marcher ! Dit-il en me rendant mon câlin et en souriant.

Je reculai de mes deux amis pour arrêter l'étreinte et en voyant que sa dernière phrase laissait tout le monde plongé dans une profonde incompréhension, il décida d'approfondir le sujet avec l'aide de Mathieu.

Florentin : Comme dit dans mon message, nous sommes aller chez Rollan, pour lui parler.

Mathieu : Finalement, nous sommes arrivés à une conclusion simple. Nous allons faire la paix.

Florentin : Rollan la dit lui-même ! C'est le nouveau chef de l'armée R.F. et il veut repartir sur de bonne base avec Imperium Psy. Imperium Psy et l'armée R.F. sont tous les deux de grandes forces qui œuvre dans la même recherche : les pouvoirs psychiques. En unissant leurs forces, ils accompliraient de grandes choses ! Et la paix, c'est mieux que la guerre. Pas besoin d'être un génie pour savoir ça.

Jonathan : Je ne suis pas d'accord ! L'armée R.F. n'a fait qu'engendrer des malheurs et du désespoir !

Mathieu : Mais ça c'était avant l'arrivé de Rollan au pouvoir. C'est un nouveau commencement, nous pouvons espérer la paix, si nous arrivons à avoir quelques minutes pour parler avec les patrons d'Imperium Psy.

A cette instant, tous les regards se posèrent sur Jonathan.

Jonathan : ...Quoi ?

Florentin : Tu es le seul d'entre nous a avoir des relations avec nos supérieurs, s'il te plait, on a besoin de toi !

Moi : Si on peut éviter des morts inutiles dans une guerre, je suis pour.

Carla : Pour une fois, je suis d'accord avec les crétins.

Jonathan : Et laisser une chance à l'armée R.F. de s'en tirer ?! Jamais ! Ils méritent tous de crevé, même si leurs dirigeant a changé !

Carla : Tu exagère là, c'est plutôt a Rollan de t'en vouloir. Je te rappelle que c'est t'as chère Imperium Psy qui a tué sa sœur.

Jonathan : ...Je m'en fiche ! Il hors de question que je rende un seul service a vous ou a cette armée de malheur. Sur ce, je rentre. Bye, les abrutis !

Sur ces derniers mots remplies d'amour, il avança vers la porte et l'ouvrit. Avant de la traversé, il jeta un dernier regard furtif a Mathieu et Florentin puis il partit. Un silence gênant s'installa dans la pièce. Silence rompu par l'arrivé de Kévin dans la salle. Je dois avouer que dans l'histoire je l'avais complètement oublié. Jonathan c'était bien défoulé sur lui, il était en sang, avec quelques vêtements déchirés à certains endroits, un joli coquard et plein de bleu mélangé à du maquillages coloré...

Kévin : J'ai loupé un truc ? Demanda-t-il toujours avec son sourire radieux.

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