Dix de Perdues, Une de retrouvée

Chapitre 1 : La nouvelle

9h13 – Bureau de La Directrice Olsone de l'école Olsonne -

Un silence de mort règne dans ce bureau à l'atmosphère pesante. Je décide de prendre la parole pour détendre l'atmosphère.

-Avez-vous passer de bonne vacance de fin d'année, Noël, nouvel an et tous ça ? Dis-je timidement.

-Oui et vous ? Me dit elle avec un grand sourire.

Elle n'est pas si méchante que ça au final.

-Très bien, j'ai fait de nouvelles résolutions ! J'ai décidé de beaucoup plus aider ma mère, de travailler plus ! Avec le bac à la fin de l'année il ne faut pas que je chôme. Dis je avec un petit air rieurs.

-Humm... A ce que je vois, arriver à l'heure n'est pas une de vos résolutions. Me dit elle sarcastiquement.

-Ah... heu... Bah.... En faite...

-Silence ! J'en ai plus qu'assez de vos excuses ! Nous nous connaissons assez pour savoir que vous êtes un baratineur M. Alexandre Fènnder !

Elle n'a pas tout à fait tord... Nous nous connaissons bien, je suis l'un des étudiants à être aller le plus dans son bureau en même pas deux ans...

-Oui mais là ce n'est pas une excuse ! Regardez mon t-shirt ! C'est mon t-shirt fétiche ! Il est tous sale ! Il s'est forcément passer quelque chose ! S'il vous plaît écouter mon histoire !

-Ah oui, ce t-shirt.... J'ai remarqué que souvent, quand vous allez dans mon bureau vous le portez.... Vous êtes sûr qu'il ne vous porte pas la poisse ?

-Non ! Par porte bonheur je veux dire qu'il a une signification, je vous les déjà dis, c'est-

-Oui, votre père qui vous l'a offert pour votre dixièmes anniversaires avant le divorce, bla bla bla. Bref raconter moi vos mésaventures.

Je lui explique ma pane de réveil et ma rencontre avec cette mystérieuse jeune fille.

-C'est tous ? D'habitude vous faites mieux. Dit elle d'un air ennuyé. Bref, qu'importe vos excuses, nous vous avons prévenu. Alors....

Elle sortit un gros livre tous poussiéreux.

-Qu'est ce que c'est ?

-Un livre de punition des époques, je vous conseille de vous taire.

Quoi ?! Mais qu'est ce qu'elle va me faire faire cette folle ?! Des sueurs froides commencent à glisser le long de mon visage, elle le remarque et s'en réjouie. Quelqu'un toque à la porte et nous interrompe.

-Oh ! Qui vient me déranger ?! Entrez !

C'est Mme. Agathe.

-Toute mes excuses Mme.Olsone, l'étudiante transférer est arrivée depuis une heure, je lui ai fait remplir les derniers documents. Dit Mme. Agathe

-Faite la entrer. Dit la directrice sur un ton autoritaire

Dès que je vois « la nouvelle » entrer, mon sang ne fait qu'un tour.

-Madame ! C'est elle qui m'a renversé son café sur mon t-shirt fétiche ! Cris-je. Avec un peu de chance je vais m'en sortir.

-La ferme Fènnder ! Vous ne voyez pas que vous l'effrayez à crier comme ça ! Elle va croire que tous les étudiants sont comme ça ! Même si ce n'est pas faux. Chuchote-t-elle sur cette dernière phrase.

La jeune fille regarde la scène apeurer, puis rit. Son sourire est comme celui d'un ange venu du ciel. Je ne fais que la regarder depuis qu'elle est entrée dans la salle, la directrice le remarque.

-Bah alors ? M. Le Baratineur Dom Juan est sous le charme de la nouvelle. Dit elle avec un petit sourire en coin.

-Mais ! Ne fait pas attention à ce qu'elle dit, elle perd la tête en ce moment. Dis je à la nouvelle avec un sourire charmeur.

Elle ne répond rien, son regard se tourne vers celui de la directrice.

-Merci de m'avoir accueilli dans votre établissement en cour d'année, je répondrai à vos critères comme stipuler dans le contrat. Dit la nouvelle poliment.

-Mais de rien. Bon Fènnder le temps que je vous trouve une punition allez faire visiter l'école à Lucilia Babdel-Louah, ta nouvelle camarade de classe.

-Vous me faites un cadeau là madame. Lui chuchotais-je

-Loin de là, elle verra que vous n'êtes qu'un idiot et vous laissera, et puis votre sanction sera beaucoup plus lourde, vous pouvez remercier la folle de directrice qui « perd la tête en ce moment ». Dit elle avec un sourire de sadique.

Je souris sous la tension de cette folle. Évitant de penser à l'effroyable moment quand je la retrouverai, je pense au présent, à se présent où je me retrouve en tête à tête avec Lucilia, séchant les cours de la mâtiné pour lui faire visiter ce lycée de fou.

-Bon, et bien allons y Lucilia !

Elle acquiesce en me souriantet me suivit.