Une Vie rêvée seulement dans nos rêves

Chapitre 18

Éphémère

Pdv: Naila

Ma vie elle est comment dire ? Merdique zebi j'ai une vie de merde bon on ce calme, je suis dans une chambre fin si on peut appeler ça une chambre j'ai les mains et les pieds attachés et je suis assise sur un lit en bois, à la base j'étais allonger et en bougeant un peu j'ai réussis à m'assoir. En face de moi y'a une chaise et le sol il est en pierre pas de carrelage je me croirais au bled.

J'aurai pas dû aller avec ce pd de Waël il me frappe et après il s'excuse non mais déjà d'où il frappe une meuf ? Me dégoûte ce mec, je me demande si Amina elle sait que son frère c'est un gros fils de pute vous savez pas vous comment je suis entrain de l'insulter mentalement ce connard. J'entends des voix derrière la porte bon j'ai assez vu de film où on ce fait kidnapper pour savoir quoi faire, au moment où je ferme les yeux pour faire genre je dors encore fin que je suis encore évanouie à cause du coup que j'ai reçu beh la porte elle s'ouvre.

Pd 1: elle dort encore on fait quoi ?

Pd 2: on la baise mdrrrr

Mais va baiser ta sœur pervers de merde

Pd 1: tu veux que Waël il nous nique ou quoi

Aah donc l'fils de pute de Waël il est dans le coup, non mais je le savais hein juste j'espérais que ça ne soit qu'un rêve et que Waël ne soit qu'en faite pas de leur côté.

Pd 1: vzy retourne avec Waël je reste là.

J'entends la porte claquer et la chaise grincer donc il compte vraiment rester ici
Ma mère me manque putain j'en ai marre qu'est-ce qu'il m'veulent zebi j'vais mourir c'est sur.

Pd 1: vzy lève toi et arrête de faire exprès.

Euh...

Moi: comment t'sais ?

Pd 1: t'es pas discrète hein

Mdrrr au lieu de me barrer je tape la discutions avec les gars qui m'ont kidnappée fin qui travail pour celui qui m'a kidnappée.

Moi: je peux partir ?

Lui: mdrrr t'es une marrante toi t'a cru la vie c'était un film de cul

Moi: pfff détache moi au moins

Lui: impossible

Moi: stp et wallah je tente rien

J'étais sérieuse quand je disais que j'allais rien faire vous devez le prendre pour une folle mai je sais pas il a l'air gentille pas jusqu'à lui faire confiance mais assez pour savoir qu'il ne va rien tenter, je le voyais hésiter mais après il est c'est rapproché et il m'a détachée.

Moi: merci.

Lui: mmh

Il retourne s'assoir sur la chaise et moi je me masse les poignets parce que wallah il m'ont attaché comme ci j'étais le mouton ta3 l'aïd wsh.

Moi: et sinon tu t'appel comment ?

Lui: t'essaye de faire la conversation là où je rêve ?