Chapitre 3 |"Je foutrait pas en l'air ce braquage"

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Il etait presque 1h du matin quand moi et mes associés étaient allez se coucher, nous avions discuter longtemps tous ensemble et j'avais fait connaissance un petit peu avec tout le monde. Je finissais de ranger mes affaires dans ma chambre quand ma porte s'ouvrit discrètement, le bruit de la porte qui s'ouvrent m'interpella.

Berlin: Putain, ces portes elle grincent.

Venise: C'est vrai c'est pas très discret *en souriant*

Andrés s'approcha en me regardant amoureusement, puis me serra dans ses bras.

Berlin: Tu m'a tellement manquer pendant tout ce temps, j'ai cru que jamais je n'allait te revoir..

Il parlait avec la gorge légèrement nouée, comme si il s'apprêtait à pleurer, mais il n'étais pas du genre à montrer ses émotions.

Venise: On est réunis maintenant c'est ce qui compte.

Il me sourit et me fixa du regard jusqu'à que son regard porta attention à sa main droite qui tremblait légèrement. Je pris celle ci dans la mienne et le regarda.

Venise: Ça recommence ? *avec le regard attristé *

Il degluti et me regarda

Berlin: Ne t'inquiète pas vi, comme je te l'ai dit, j'ai réussi à avoir des médicaments en prison, souvient toi de ce que les médecins on dit si je prend les médicaments tout se passera bien.

Venise: Oui mais souvient toi de ce que le russe avait dit, il avait parler de temps limité.

Berlin: Oui je sais mais il c'est tromper d'accord ? J'ai vu d'autre médecin ils ont dit que je pourrait vivre tranquillement si je le prend ne t'inquiète pas.

J'ocha de la tête comme réponse. Il s'approcha souleva legerement mon menton pour approcher ses lèvres des miennes pour m'embrasser. Il placa ses mains sur ma taille pour le tirer un peut plus contre lui, il m'allongea sur le lit et vint se placer au dessus de moi, nous nous déshabillerent mutuellement. Il me regarda et me souriat avec ce sourire que lui seul en avait le secret, après nous avoir longuement embrasser, Andrés entra en moi.




*Eclipse de 2 mois*



Professeur: On fait une pause, on reprend dans 15 min.

Je sortit en direction de la terrasse en passant Andrés me souriat discrètement. Je pris une cigarette et alla m'accouder au mur de dehors. Denver se dirigea vers moi.

Denver: Ta du feu ?

Je lui tendit le briquet et lui accorda un sourire amical. Il se placa à coter de moi et m'imita en s'accordant au mur.

Denver: Alors ta quelqu'un dans ta vie ?

La question de Denver me surpris, à ce moment j'aurais tellement envie de lui dire, oui tu voit l'homme las bas, c'est lui, mais malheureusement je lui accorda une réponse brève.

Venise: Oui.

Denver: Ah..il s'appelle comment ?et il sait que tu va faire ce braquage ?

Sa réaction m'étonna mais je ne prêta pas vraiment attention à celle ci.

Venise: Écoute, je ne pense pas que ça te regarde Denver mais merci de t'inquiéter.

J'ecrasa la cigarette que j'avais dans la main par terre et me dirigea à l'intérieur sans lui adresser un autre mot. Mais cette discussion m'avais fait prendre conscience de quelque chose.

Le soir même, j'étais assise sur mon lit et je lisais en attendant Andrés. On toca à ma porte mais d'habitude il entre directement, je me leva et vit Denver ce qui me surpris.

Venise: Qu'est ce que tu fait la ?

Denver: Je voulais m'excuser par rapport à tout à l'heure ça me regardait pas, mais vu qu'on est amis maintenant je.. enfin c'était juste par curiosité c'était déplacer désolé.

Je lui sourit

Venise: C'est pas grave Denver je t'en veux pas t'inquiète pas tu peut allez dormir tranquille. *Dis-je en riant*

Denver fit de même

Denver: Merci ça me soulage je voulait pas que ça soit froid entre nous, bonne nuit

Je lui sourit en guise de reponse et il parta. Je refermit la porte et à peine une minute après la porte s'ouvrit violemment.

Venise: Andrés ? Tes malade ou quoi tu veut attirer l'attention de tout le monde en claquant la porte comme ça ?!

Je dirigea vers la porte et la referma.

Berlin: Qu'es qui c'est passer avec Denver ?! Pourquoi il c'est excuser ?

Venise: Tu m'espionnait ou quoi ? Rien il m'a juste demander si j'avais quelqu'un dans ma vie et j...

Berlin: Je vais lui peter la gueule.

Il se dirigea vers la porte près à faire ce qu'il avait dit auparavant. Je me précipita vers lui en le retenant par le bras.

Venise: Calme toi Andrés, il me draguait pas ! C'était juste par curiosité et entre nous c'est pas ça le réel problème.

Berlin: Ah oui ? C'est quoi alors tu peut me le dire ?

Venise: Quand il m'a dit ça j'avais juste envie de lui dire que c'était toi putain et j'avais envie de le crié à tout le monde bordel, j'en peut plus de me cacher je tiendrais pas 3 mois de plus et encore moin un braquage d'une semaine.

Berlin: Tu sais que c'est pas possible, on lui a promis de rien dire et je foutrait pas en l'air ce braquage.

Venise: Très bien, j'ai compris, tu peut partir je suis fatiguée j'aimerais bien dormir.

Berlin: Victoria, ça sert à rien de le prendre comme ça on a promis à Sergio.

Venise: Oui exactement, tu peut me laisser ducoup.

Berlin: Arrête, ça sert à rien de réagir comme ça !

Venise: Andrés, sort de ma chambre.

Il me tourna le dos ouvrit la porte et la claqua violemment en sortant.

La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant