Chapitre 7|"Tue-la"

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Quelques heures plus tard deux policier sont venus déposer les médicaments et la nourriture devant la fabrique. Nairobi me donna le sac des médicaments pour que je les apportes à Denver qui surveillait les femmes, avant d'entrer je rangea le test dans ma poche.

Venise: Denver, les médicaments.

Denver me remercia et je me dirigea vers les toilettes pour faire le test quand ma voix préfèrée m'interpella.

Berlin: Venise.

Je me retourna vers lui en souriant en essayant de masquer mon trouble. Andrés s'approcha de moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres.

Berlin: Tu voit je t'avais dit que ça allait bien se passer.

Venise: Oui t'avais raison, espérons que ça continue.

Andrés allait me dire quelque chose mais Nairobi nous interrompue.

Nairobi: Berlin, le proffeseur veut te parler.

Berlin: On se voit tout à l'heure alors.

Je lui accorda un sourire d'aprobation et le regarda partir du coter opposé du mien. Après qu'il soit partit je me dirigea vers les toilettes.

Après quelques minutes d'attente après l'avoir utiliser deux petites bandes sont apparues dessus, un sourire se crea sur mon visage, j'étais bien enceinte. Le seul truc c'était comment l'annoncer à Andrés.

En sortant des toilettes je croisa directement Nairobi.

Venise: Tu tombe à pique viens.

Je tira Nairobi dans un bureau vide.

Nairobi: Qu'es qui a ?

Venise: Je suis enceinte.

Elle fut un peut surprise mais me souria.

Nairobi: C'est génial ! Pas vrai ?

Venise: Oui oui bien sur.

Nairobi: Berlin le sais ?

Venise: Non justement je sais pas comment lui dire, je viens de l'apprendre.

Nairobi: Vous avez deja parler d'avoir un enfant ?

Venise: Il y a longtemps, avant qu'on commence les braquages.

Nairobi: Regarde ça tombe à pique, avec tout le fric que vous allez avoir plus besoin de faire de braquage.

Venise: Ouais ta raison *en riant* Je vais lui dire tout à l'heure.

Nairobi me pris dans ses bras. On retourna ensuite dans le hall mais je ne trouva pas Andrés. Je vit de loin devant la porte où les femmes étaient surveiller Denver parler à Monica Gaztambidé. Je l'interpella.

Venise: Denver, ta pas vu Berlin ?

Denver me fit léger signe pour indiquer derrière moi, Berlin se dirigeait vers nous.

Berlin: Qu'es que vous faites avec l'otage ?

Denver: Je l'aidais à prendre sa pilule mais elle a changer d'avis et Venise te cherchait.

Berlin: Je pense pas de toute manière qu'elle aurait eu besoin de toi pour lui mettre dans la bouche Denver.

Il s'adressa maintenant à Monica.

Berlin: Je suis très heureux que tu es changer d'avis, vraiment, tu peut retournée avec les autres en bas.

L'otage s'exécuta et commença à partir, Berlin se tourna vers moi pour me parler mais il fut interrompu par une sonnerie de téléphone qui venait de Monica. Berlin lui ordonna de revenir vers nous, une deuxième sonnerie retenti, elle avait placer le téléphone entre ses jambes.

Berlin: Venise, tu veut bien te donner la peine. 

Il m'indiqua son entre jambe pour éviter de le faire lui même, je placa ma main et sortit le téléphone et le donna à Berlin. Il s'approcha de Denver et lui chuchota  pour que seul nous 3 puisse entendre.

Berlin: A votre avis, qu'arrivera-t-il à notre autorité quand les autres l'apprendront ? Denver, tue-la. Tu m'a bien entendu.

Denver semblait choquer de la demande de Berlin, il passa ensuite une main autour de ma taille et on commença à partir.

Berlin: Tu voulais me voir mon amour ?

Andrés avait cette facilité de passer d'un état d'énervement à un plus grand calme que je n'aurais jamais su maîtrisé.

Venise: Oui, viens je voulais te parler.

On se dirigea vers le bureau de Berlin et je m'asseya en face de lui.

Berlin: Alors tu voulais me dire quoi ?

Je rassembla toutes mes forces pour lui dire.

Venise: Andrés, je suis enceinte.

La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant