Chapitre 6|"Tu pues la mort"

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Berlin: Ici c'est moi le chef, je voulais également vous présentez mes excuses, c'est pas une façon agréable de finir la semaine pas vrai ?

Berlin continuait de parler pendant que Denver et Rio demandait les téléphones et les codes de tout le monde.

Berlin: Vous êtes ici en tant qu'otages, si vous obéissez, vous aurez la vie sauve.

Berlin alla se placer devant pour avoir tous les otages dans son champ de vision.

Denver: Code PIN

Otage: Pourquoi voulez vous le PIN ?

Denver: File moi ton foutu PIN ou je te le sort à coup de poings, alors PIN ?

Otage: 1 2 3 4

Denver, rio et moi éclatèrent de rire.

Denver: Tu fait le malin avec ton PIN de merde ? C'est quoi ton nom.

Arturo: Arturo Roman.

Denver: Très bien arturito.

Après avoir fini de ramasser tous les téléphones, Denver me confia le sac pour que je l'amene dans la salle de pause a l'étage, lui et Moscou devait ramener les sacs avec le fric. Après avoir placer les portables, je redescendit, à ce moment Denver et Moscou revenait avec les sacs ils se placèrent devant l'entrée avec Tokyo et Rio. Berlin declancha l'alarme et attenda les instructions du proffeseur.

Berlin et moi étions côte à côte en regardant droit devant nous, il se retournai de temps en pour regarder les otages. Il répétait ce que le proffeseur lui disait.

Berlin: Deux minutes.

Berlin: Une minute et trentes secon...

Je me tourna vers lui pour savoir pourquoi il n'avais pas fini sa phrase, un otage avait enlever son bandeau. Je rejoigna berlin vers l'otage en question.

Berlin: Comment tu t'appelle ?

Arturo: Arturo.

Berlin: Arturo ?

Andrés enleva d'un coup sec le cache oeil de l'otage.

Arturo: J'ai rie vu, je vous le jure.

Berlin: Regarde moi arturo, allez regarde moi.

Arturo leva faiblement son regard vers celui de Berlin.

Berlin: Tu aime le ciné ?

Il fut un peut surpris par la question du braqueur en face de lui mais ocha la tête.

Berlin: Alors tu as remarqué que dans les films d'horreur au début, il y a toujours un brave type tout comme toi qui te fait te dire "il va se faire tuer"

Je souriais face à arturo qui essuyait ses larmes.

Berlin: Crois moi Arturo..tu pues la mort.

La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant