Chapitre 15 |"C'est ta femme que tu qualifie de sans espoirs et sans rêves ?"

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Ils nous on emmener dans les toilettes, Rio est venu avec 2 chaises, ils nous ont attachés, Berlin lui était au centre de la pièce mais moi sur le coter. 

Denver m'attacha a la chaise avec une corde et Tokyo et Rio firent la même chose avec Andrés.

Mon mari ne dit rien ce qui me surpris.

Venise: Tokyo relâche nous maintenant tu sais que cela va mal finir.

Tokyo: C'est toi qui devrait t'inquiéter de ce qui va mal finir Venise.

Elle s'avança vers Berlin et sortit un de ses médicaments. Je compris tout de suite ce qu'elle allait faire.

Tokyo: Tu sais ce que c'est ?

Il ria aux éclats.

Berlin: Mes médicaments .

Tokyo: Des jours de vies.

Elle éclata le flacon part terre, cela ne sembla pas toucher mon mari, mais moi si.

Venise: Arrête ça Tokyo ou je te jure que je te tue.

Tokyo: Pour l'instant tu ne va rien faire tu es attachée, Denver, scotche lui la bouche elle m'empêche de me concentrée.

L'intéressé s'avança vers moi le scotch à la main.

Venise: Ne fait pas ça, Denver, ne l'écoute pas. Il y a une raison pour que ce ne soit pas elle qui commande.

Denver: Désolé Venise, je n'ai pas envie de mourir ici.

Venise: Mais tu ne va pas mourir espèce d'abru...

Je n'ai pas eu le temps de finir qu'il m'avait déjà scotcher la bouche.

Tokyo s'asseia en face de Berlin.

Tokyo: Berlin, parle-nous du plan Tchernobyl, ou je détruit tout ton stock.

Il ria, comme à son habitude.

Berlin: Non.

Elle explosa la nouvelle fiole qu'elle avait prise.

Berlin: Tu compte me torturer en cassant des petites fioles ?

Il ria de nouveau

Berlin: Oh Tokyo, si mature mais si puérile à la fois

Elle recassa une fiole ce qui le fit se taire.

Berlin: Trouve un truc plus convaincant. Je sais pas, coupe moi un de mes membres. En même temps je suis tellement shooté avec ces médicaments que je sentirai rien.

Tokyo: Denver, le flingue.

Je commençais à m'agiter pour essayer de mes débarrassés de mes liens. Mon mari se tourna vers moi.

Berlin: Calme-toi Victoria, elle ne fera rien, elle a rien dans le ventre.

J'étais désespérée, les médicaments lui altérait la réalité, il prenait tout à la légère. Tokyo pris le pistolet enleva toutes les balles, en remis une, et fit tourner le chargeur, à la manière de la roulette russe.

Tokyo: Parle-nous du plan Tchernobyl.

Berlin: Tu n'as pas ce cran là.

Mon cœur battait tellement fort que j'entendait parfaitement les battements, il pourrait lâcher a tout moment. Il n'avait jamais battu aussi fort.

Tokyo: 3,2...

Elle appuya sur la détente. J'ai cru que mon cœur allait s'arrêter, il n'avait rien, le chargeur était vide.

Elle recommença, cette fois ci il était vide aussi. Encore une fois. J'hurlait, mes cris était masqué par le scotch, mais on les entendait, je me débattait.

Elle pointa encore le pistolet contre Berlin, c'était la dernière. Il allait mourir, il fallait que je fasse quelque chose mais malgré mes efforts je ne le pu.

Elle allait tirer mais des coups à la porte la stoppa.

Nairobi: C'est quoi cette merde ?

Berlin: On joue a la roulette russe Nairobi, reviens plus tard 

Nairobi: Bordel Tokyo ta péter un câble ou quoi. Tu essaye de tous nous faire buter ? Tu va toit foutre en l'air.

Berlin: Ça c'est clair.

Elle se leva.

Tokyo: Moi ? Je fous tout en l'air ?

Nairobi: Tu peux pas réfléchir une seule fois dans ta vie. Pauvre petite conne.

Tokyo:  Je suis peut-être une conne mais ton plan pour récupérer ton fils c'est de la merde !

Nairobi: Qu'est ce que ta dit ?

Tokyo: Il se souviens même pas de toi

Nairobi : Ferme-la. Tu ne sais rien du tout.

Tokyo: Je sais que tu l'a porté et abandonné pour des pilules.

Nairobi: Ouvre la porte et ose me le dire en face.

Elle se re dirigea vers Berlin et pointa le pistolet vers lui.

Moscou: Arrête Tokyo, tu nous met dans la merde là.

Rio: On va sortir, refaire un vote et..

Tokyo: Non ! On a déjà voter.

Berlin: Allez tire finissons en. Si ça doit être la fin pour moi tire Tokyo. Je suis en phase terminale. Tu ne mettras un terme à aucun espoirs et aucun rêves. Si tu essaye de me faire peur, rappel toi que quand tu m'aura flingué c'est toi qui aura peur. Je suis le seul à savoir quel est le plan ! Vas y ! Tire.

Moscou défonça la porte, et Nairobi entra, Tokyo pointa son arme sur celle-ci. 

Moscou me détacha pendant ce temps là. Il commença par les cordes, quand il me détacha j'arracha le scotch de mes lèvres, me leva et mis un poing dans la figure de Tokyo. Elle tomba par terre.  Je me jeta sur sur elle lui mit un deuxième mais Nairobi m'attrapa et me tira en arrière.

Venise: Je vais te tuer, laisse moi Nairobi, laisse moi tuer cette sous merde! Ecoute moi bien sale pute.

Je regarda Tokyo dans les yeux.

Venise: Je vais te tuer tu ne sortira pas d'ici vivante je m'en fait la promesse.

Nairobi fit signe a Tokyo de partir elle me tenait toujours, elle attenda quelques minutes et me lâcha.

Je tourna la tête vers mon mari qui était toujours attaché, Moscou était en train de défaire ses liens.

Berlin: Je reconnait bien ma femme là.

Je m'approcha de lui et lui mit une énorme gifle.

Venise: Tu te fous de ma gueule ! C'était quoi ce bordel ? Alors ça y es ta laissé tomber ? C'est ta femme que tu qualifie de sans espoirs et sans rêves ? Après tout ce que j'ai fait pour toi c'est comme ça que tu me remercie ? En m'abandonnant ? 

Berlin: Je..Non Vi, pas du tout j'ai dit ça sur le coup de la panique, ne fait pas attention à ce que j'ai dit.

Après qu'il est été libéré il regarda Moscou et Nairobi et leur fit signe de nous laissés seul, dès qu'ils fermèrent la porte j'éclata en sanglots.

Venise: Je, J'ai cru que t'allait mourir.

Il me pris dans ses bras.

Berlin: Je te promet que je te laisserai pas tomber. Je ferai tout pour trouver un traitement.


La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant