Chapitre 9|"Ma main tremble de plus en plus"

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Berlin et Denver avaient enmener Moscou dans la salle de r éunion pour qu'il puisse se reposer.

Berlin: Denver, retourne nettoyer. Venise, il faut que tu ailles surveiller les otages, Denver te rejoindra quand il aura fini.

Je m'exécuta et retourna dans le hall de la fabrique, Nairobi surveillait déjà. En arrivant, le directeur de la maison de la monnaie se leva et s'adressa à moi.

Arturo: Où est Monica ?! Ça fait longtemps qu'on ne l'a pas vue. Qu'es que vous lui avait fait ?!!

Je pointa mon arme sur son cou, ce qui lui fit taire.

Venise: La ferme ! Elle est avec les autres. Contente toi de fermez ta gueule.

Arturo s'exécuta, n'osant plus rien dire. Nairobi me regarda et souria d'amusement. A ce moment là Denver était revenu.

Venise: Ton père va mieux ?

Denver: Oui je pense j'aurais aimer allez le voir mais Berlin m'a obliger de venir ici.

En finissant sa phrase Denver me regarda d'un regard accusateur qui ne plu pas dutout.

Venise: Je peut savoir ce que t'a ?!

Denver allait me répondre mais il fut interrompu par Moscou qui passa devant nous en se dirigeant droit vers la porte.

Venise: Moscou ! Arrête toi !

Il m'ignora et appuya sur le bouton d'ouverture de la porte. Denver courra et plaqua son père à terre pour l'empêcher de sortir.

Venise: Helsinki ! Vite la porte.

Helsinki qui était en train de se diriger vers eux courra vers le bouton et ferma la porte. Denver et Moscou se dirigèrent vers nous.

Nairobi: Putain Moscou qu'es que ta foutu t'es malade ou quoi ?!

Denver: Il a besoin d'air.

Venise: Ah oui ? Et où il va le trouver ?

Denver: Réunion, il faut que je parle à Berlin.

On se dirigea dans le bureau.

Berlin: C'est la première et dernière fois que ça ce produit Moscou je ne veut plus jamais que ça.

Moscou ne répondit pas.

Denver: Berlin, on veut allez sur le toit avec des otages pour faire prendre l'air à Moscou, il en a besoin.

Berlin: Hors de question, vous vous croyez où au juste ?

Denver, Nairobi et Helsinki sortirent leur armes sur Berlin. Il leva les yeux au ciel et alla s'assoir sur le fauteil.

Berlin: C'est une très mauvaise idée, mais apparemment je n'es pas le choix.

Le père et le fils sortirent de la pièce pour mettre en application ce qu'ils avaient annoncé précédemment. Berlin me regarda et tendit son bras pour me dire de venir auprès de lui, j'avance vers lui alla m'assoir sur le larges acoudoir du fauteil et pris sa main de la mienne.

Plusieurs minutes s'écoulerent et Rio entra en panique de le bureau.

Rio: La police a tirer sur un otage.

Berlin: Qui ?

Rio: Arturo Roman.

Nos compagnons avaient réussis à maintenir l'état de l'otage, Berlin et moi descendirent le voir pour qu'il puisse appeler sa femme.

La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant