Chapitre 5|"Bonjour à tous"

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Aujourd'hui c'était la dernier journée paisible qu'on allaient avoir avant longtemps, demain matin nous allions partir pour le braquage, j'angoissai depuis quelques jours déjà. J'étai assise sur l'herbe pendant notre pose, j'avais envie de rester un peut seule, j'étais dans mes pensées avant que Nairobi arrive.

Nairobi: Ça va ? Tu fait quoi toute seule ici ? Viens avec nous.

Venise: Non ça va ne t'inquiète pas,  j'ai besoin d'un peut de calme.

Nairobi: Tu stress pour demain pas vrai ?

Nairobi c'était assise à coter de moi, elle savais que j'avais besoin de parler à quelqu'un, on c'était beaucoup rapprocher pendant ces 5 dernier mois.

Venise: Oui un peut, la dernière fois que j'ai fait un braquage ça c'est mal fini, on allaient repartir mais un de nos compagnons c'est fait tirer dessus, Berlin à fini en prison et on a été séparer pendant plus d'un an.

Nairobi: Je comprend mais regarde, le proffeseur est un génie, le plan qu'il a est juste génial, il ne nous arrivera rien ne t'inquiète pas.

Je lui souria avant de la prendre dans mes bras, je regardais au loin nous amis qui jouaient au foot, Andrés avait l'air tres heureux avec eux ce qui me rechauffa le coeur.

Nairobi: Tu sais je te l'es jamais dit mais toi et Berlin, je savais que vous étiez ensemble, ça ce voit tout de suite, les filles savent ce genre de choses.

Elle me tappa le coude amicalement en me faisant un clin d'oeil, je lui souria.

Nairobi: Vous comptez faire quoi avec votre argent ?

Venise: Je sais pas encore, sûrement sur une île tout les deux j'imagine. Et toi, tu sais comment tu va faire pour retrouver ton fils ?

Nairobi:  Il est au îles canaris, j'vais lui dire que je suis sa mère et on va partir tout les deux dans un pays au nom imprononçable pour pas qu'on soit retrouver.

Venise: Ce qui est sur c'est que c'est toi qui a le meilleur projet.

Elle me souria mais avant qu'elle ne puisse répondre, un hurlement juste derrière nous nous fit crier de surprise. Je me retourna et c'était Berlin qui était hilare de sa blague.

Venise: T'es con putain !

Je lui tappa la jambe qui était à la hauteur de ma main.

Berlin: Si mademoiselle veut se joindre à nous.

Andrés me tenda la main pour que je l'attrape en imitant un majordome. Je ria en voyant son air théâtrale et attrapa sa main pour qu'on rejoigne les autres.

Le soir même, on étaient adosser contre le mur de la terrasse, j'avais ma tête poser sur son épaule, Berlin tenait ma main gauche et jouait avec la bague qu'il m'avais offert il y a 15 ans.

Venise: J'ai peur pour demain, on aurait peut être du pas le faire.

Berlin: C'est normal que tu ai des doutes mais ne t'inquiète pas, tant qu'on est ensemble ils ne nous arrivera rien.

Pendant que mon mari avait ses mains dans les miennes, sa main droite se mit à trembler, il serra sa main pour faire partir les tremblements

Venise: Tu a pris ton traitement ce soir ?

Berlin: Non, je vais y allez, tu viens ?

Il se leva et me tendit la main pour me lever, il passa une main autour de ma taille et nous marchons en direction de la chambre.



Le lendemain


On étaient tous assis dans le fourgon, avec nos tenus rouge et nos masques sur le visage, personne ne parlait, Andrés me tenda sa main gauche pour que je l'attrape, il savait que j'étais stressée. Rio pris la parole en brisant le silence en enlevant son masque et le regarda.

Rio: Qui a choisi les masques ?

Berlin: Ils on quoi les masques ?

Rio: Ils ne font pas peur, dans les films, les braqueurs on des masques qui font flipper, jore zombie, tête de mort, squelettes.

Rio fut interrompu par Berlin qui sorta son arme et la pointa sur rio.

Berlin: Avec une arme à la main, un fou file plus les jetons qu'un squelette.

C'est ça que j'aime chez Andrés, son impulsivité et sa manière de faire peur aux gens, rio c'était décomposer, je souriait derrière mon masque. On arriva à la position où Moscou devait descendre, on arriva ensuite au hangard où toutes les armes étaient stockée, Moscou avait installer le filet qui empêcha la police de passer, on étaient près à intervenir, on s'approcha du camion et de la voiture de police et les menaca avec nos armes pour qu'ils descendent. On attacha la police au fond du camion, à part un des policier qui resta dans la voiture, je pointait mon arme sur lui pour pas quil ne bouge, Berlin avait mit la tenue d'un policier pour passer inaperçu dans la voiture.

Venise: T'es plutôt sexy en tenue de flic.

Andrés me fit en sourire en coin avant que Nairobi vienne nous dire que c'était l'heure, il me fit un dernier signe de tête comme pour dire "ne t'inquiète pas ça va allez"  et je me précipita rejoindre rio qui était déjà dans le camion.

Berlin partit dans la voiture de flic en premier, après suivit de Nairobi et Tokyo qui elles étaient en civil. Et le restes des braqueurs dans le camion, on se placa tous dans les rouleaux géants qu'on avaient vider. Le camion ralentissa, je compris qu'on étaient arrivés. Mon coeur n'avait jamais battu aussi vite, je sentit qu'une machine nous soulevait et nous sorta du camion.

D'une seconde à l'autre un des rouleau s'ouvrant et Helsinki et Oslo tirèrent en l'air, suivi de celui Denver et Moscou, puis c'était au tour du mien et de rio. On imita nos compagnons pour effrayer les employés.

Venise: Taisez vous, et allez par là.

Je leur indiquèrent la porte qui menait au hall de la fabrique, maintenant, je n'étais plus effraiyer mais exiter par la situation. On se rejoigna tous au milieu du hall avec tous les otages. Après avoir mit des cache - oeil au otages on enleva nos masques, Berlin me souriat avant de prendre la parole.

Berlin: Premièrement, Bonjour à tous.

La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant