Chapitre 13|"Personne ne sort"

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Après l'incident qui y a eu avec les otages, nous nous sommes rappeler ce que le professeur nous avais conseiller de faire si les otages se rebelaient. On leur proposa donc de partir immédiatement et ceux qui acceptaient de rester auraient 1 millions d'euros quand tout cela sera fini. Berlin et Nairobi se sont charger de leur proposer la chose.

Après tout cela on decida de se réunir tous et de voir comment l'état de Oslo avançait. On entra tous dans la pièce et Berlin s'avança avec une petite lampe torche pour voir la réaction de sa pupille a la lumière.

Berlin: Aucune réaction. Je craint que le coup qu'il a reçu n'ait provoqué des dégâts irréversible...

Nairobi: Quoi qu'es que t'en sais ? Tes neurochirurgien ? On n'en sait rien. Il doit aller à l'hôpital. On peut peut être encore le soigner.

Berlin: Personne ne sort d'ici. Même avec un trou dans la tête. Ce sont les ordres du profeseur.

Nairobi: Je m'en tape du profeseur ! Il était où quand 16 otages prenaient la fuite ? Et quand il ont ouvert le crâne d'Oslo ? On va ouvrir les portes et le confier aux secouristes

Berlin: Non mais tu délires ? Les règles étaient claires : personnes ne sort !

Nairobi: C'est toi qui parle de règles ? Les deux règles les plus importantes c'est pas de goutes de sang et de relation personnelle, et c'est qui qui fait exécuter un otage et qui est marié à un des braqueurs ?

Berlin: C'est pas le sujet Nairobi. J'ai dit que PERSONNE ne devait sortir. On le savait tous Oslo aussi !

Tokyo: Les règles ont changé, seize otages se sont fait la malle.

Berlin: Les otages ne savent rien du plan contrairement à lui.

Rio: Et après ? Il ne peut même pas parler.

Nairobi: C'est pour ça qu'il faut qu'on..

Nairobi n'ai même pas eu le temps de finir sa phrase que Berlin pointa son arme sur son visage.

Berlin: Ça suffit ce n'est pas une démocratie.

Nairobi fit de même suivit de Tokyo et Rio. Je fit de même mais face à eux en soutenant Berlin comme d'habitude.

Nairobi: On ouvre les portes. Et on enmene Oslo.

Berlin: Personne ne sort.

Helsinki se leva et baissa les armes de Nairobi et Berlin.

Helsinki: On a discuté longuement lui et moi avant de venir ici. La blessure n'a pas d'importance, c'est la mort plutôt que la prison.

Il retourna s'assoir près de Oslo et on reparta tous surveiller les otages.

On avaient alignés tout les otages, Nairobi trassa une ligne et expliqua aux otages la raison de leurs présence ici. Berlin et moi étions en haut, il voulait laisser Nairobi et Tokyo s'occuper des otages pour une fois.

Nairobi: Vous avez le choix, rester ici et gagner 1 million. Ou rester intègre et sortir d'ici. Votre liberté ou 1 million ? Si vous restez jusqu'au bout, vous recevrez par courrier 20 000 billets de 50 euros. Ceux qui veulent partir traversez la ligne.

Un peu moin de la moitié des otages traversèrent la ligne. Et comme nous avions convenu avec le profeseur, il seront enfermés dans le sous sol de la fabrique.

Je sais le chapitre est un peu court mais le prochain sera plus long et il se passera plus de choses et se sera plus concentré sur Venise et Berlin ! Merci de lire mon histoire ❤


La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant