Berlin s'approcha de moi, dès que Sergio était sorti de la pièce, il était fatigué, ses cernes étaient marquées et il avait un teint pâle.
Berlin: Tu te sens comment ?
Venise: Pour quelqu'un qui c'est fait tirer dessus, je m'en sors bien.
Je lui souris pour essayer de détendre l'atmosphère, mais il me rendit qu'un demi sourire. Il avait l'air contrarié, du moins, c'est comme cela que je l'avais interprété.
Berlin: J'ai eu très peur pour toi.
Venise: Je sais, mais maintenant je vais bien, tu n'a plus à t'inquiéter pour moi.
Berlin: Tu te trompe, je suis en permanence inquiet pour toi.
Je lui souris.
Venise: Tu me connais, je suis quelqu'un de fort, je peux prendre soin de moi.
Berlin: Je sais, mais ce n'est pas pour ça que je ne doit pas m'inquiéter.
Je lui pris la main.
Venise: Explique-moi comment ça va se passer.
Berlin: On va bientôt atteindre notre cotât d'argent, donc on va pouvoir sortir d'ici. Mais la police va sûrement pas tarder à essayer d'entrer, et c'est pourquoi je vais te reposer cette question, comment tu te sens ?
Venise: Vraiment bien, je ne sens presque rien.
Berlin: Tu peux te lever ?
Je lui répondis en un hochement de tête, et pour lui montrer. Je me levais. J'arrivais à tenir debout sans trop de difficultés, ce qui m'étonnait moi-même.
Venise: Tu vois, je me sens vraiment bien, je t'assure.
Il me sourit.
Berlin: Alors viens avec moi.
Il me tendit son bras pour que je le prenne, ce que je fis.
On a marché quelques minutes pour arriver au sous-sol. Tout le monde était là. Ils s'étaient tous recueillis pour allez voir Oslo.
En les voyant tous, j'eus les larmes aux yeux, on étaient tous très proches même si, comme le montre ce braquage on a des hauts et des bas.
On avait décidé de faire une minute de silence pour notre ami.
Après celle-ci, chacun partit pour rejoindre son poste, Tokyo m'interpellait pendant que je parlais à Moscou, j'étais toujours accroché au bras de Andrés, je le sentis se crisper quand celle-ci m'appela.
Venise: Calme-toi, emmène-moi la voir.
La seule réponse que j'eue était son hochement de tête. On dirigea vers Tokyo.
Arrivés au niveau de celle-ci, elle me regardais gênée et regardais Berlin de la même façon. Je compris alors qu'elle voulait qu'on soit toute les deux.
Je regardais Andrés.
Venise: Mon amour, laisse-nous, tu veux ? Je peux tenir debout. Va voir les autres je t'appellerai quand on aura finies.
Il me sourit contrarié, mais fit ce que je lui demande.
Tokyo: Merci, c'était pas l'idéal de parler avec lui...
Je sourit amusée.
Venise: Je comprends.
Tokyo: Tout d'abord, je tenais à m'excuser de ce qui t'es arrivé, c'est de ma faute. Et merci de m'avoir aidé.
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La casa de papel | Berlin & Venise ~ Tome 1
FanficLe coup du siècle, 9 braqueurs et cerveau pour 2,4 milliards d'euros. Cette histoire est une fanfiction de Berlin et Un personnage ajoutée de la casa de papel. (Venise)