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#2. Seulgi ♥ Wendy [Red Velvet]

Mon deuxième one - shot malgré des décennies sans publier et j'en suis désolé. Au début je voulais écrire sur Yeri et Irène mais après je me suis rétracté car je me sens mieux avec Seulgi et Wendy.  Sur ce ENJOY.

⭐⭐⭐

HeartBreaker.

Avant je pensais que Seulgi était faite pour moi. C'était mon premier amour, mes premières expériences, mes premières sensations. C'était ma vie.

Je venais de poser depuis un mois mes affaires à Séoul, capitale des rêves. À la base je suis quelqu'un de pudique et sérieuse mais la rencontre avec Jiyun qui est mon ami m'a d'abord bouleversé.

Elle était enfin elle est si différente de moi, joviale, fêtarde, insoucieuse. M'entraînant dans ces balades nocturnes où elle se bourrait la gueule.

Un soir après la fac, Irène m'avait entraîné à l'ouverture d'une nouvelle boîte branché malgré mes refus incessants, sa détermination pour m'y emmener avait fini par l'emporter.

Assises au bar dans un premier temps, les verres avaient commencé à faire leur parade sous mes yeux. Ma chère copine était un vrai puits sans fond, ingurgitant tout ce qui lui passait sous le nez.

Je n'avais bu que des jus de cocktail pas trop alcoolisé, je ne supportais pas l'alcool. On s'était retrouvé sur la piste de danse, bousculé par des danseurs improvisé et des bourrés qui collaient tout ce qu'ils voyaient.

Irène se collait à moi en me disant de me lâcher, plus facile à dire qu'à faire  lorsque l'on ne connaît pas bouger.

Même pas dix minutes qu'un sale type vint la coller, je voulus intervenir mais un corps se colla à moi et me barrait carrément le chemin.

Des longs cheveux noirs de jais s'agitaient devant mes yeux alors que j'avais du mal à distinguer un visage.
J'essayais de me débarrasser d'elle car oui c'était une fille, mais semblait si difficile à faire dégager.

- Excuse moi je veux passer.

- Pourtant tu n'as pas dansé avec moi.

Elle avait crié pour se faire entendre par dessus la musique, son visage enfin je le scrutait. Belle était le seul adjectif qui avait une monté dans mon cerveau. Une frange cachait un peu ses yeux de phares à paupières et d'eyeliner.

- Je ne suis pas là pour danser.

Je vis son expression se tordre d'incompréhension, sa main emprisonna mon bras afin de serrer mon corps au sien. Les yeux ouverts en grands j'humais sans trop de difficulté l'odeur de l'alcool et du parfum grenade.

- Maintenant on peut danser non ? Je vais pas te retenir longtemps.

La lumière des vaisseaux lumineux se baladaient et souvent se posait sur son visage où je pouvais voir un sourire inscrit.

C'est depuis ce jour que tout avait changé.

Des semaines s'étaient enchaînés, je ne savais pas par quel miracle elle avait trouvé le lieu de mon travail ni mon numéro.

Comme tous les soirs elle s'accostait au comptoir pour que je lui serve un Capuchino, son sourire mesquin et dragueur au visage. Elle me surnommait par des petits noms, "mon bijou" , "mon bonbon"...