Les étoiles de nos rêves. Émergence. {PAUSE}

Prologue

Depuis déjà toute petite, je vivais reclus des autres enfants de mon âge. Soit on me trouvait bizarre, soit parce-que mes yeux ressemblaient trop à des billes, celles qu'on utilise souvent pour s'amuser à chaque recrées pour faire des concours tout en s'amusant.
Mais un jour, ces épisodes de solitudes furent chassé par de la joie.

J'avais rencontré des filles géniales à mon collège. On papotait de tout et de rien, sans vraiment parler de garçons ou de filles qui n'arrêtaient pas de nous coller la honte sur le dos en disant que nous étions des ratées de la société.
Peut-être que mes amies, ça les touché beaucoup plus que moi... Moi, je ne faisais plus trop attention après avoir eu l'habitude d'être rejeté dès mon entré en petite section. Mais jamais je n'aurai cru que toute cette haine jeté sur nous au collège aurait mené au suicide une de mes amies...

J'avais été bouleversé ce jour là et pour une fois, j'avais réagi. Je ne voulais plus retourner au collège, plus sortir de la maison, de ma chambre... Mes parents m'avaient emmené de force plusieurs fois chez un psychologue qui celui-ci, au bout d'un moment, a essayé pendant l'une de nos nombreuses séances de me toucher, et je ne m'étais pas défendu... Au contraire, je me suis laissée faire comme une idiote... . Depuis ce jour, je l'ai regretté et j'ai voulu la mort du psychologue par la suite pendant de nombreuses nuits où je ne trouvais plus le sommeil.
Mais un jour, ma père a débarqué comme une tornade pendant que le psychologue recommençait son petit jeu sur moi. Je ne me rappel plus trop de ce moment là mais je peux vous assurer d' une chose, mon père était devenu quelqu'un d'autres que je n'avais jusque là jamais connu.

Plusieurs jours avait passé après cet événement et nous avons déménagé dans une autre ville plus au sud de la France.
Pendant ma dernière années de collège, je suivais des cours à la maison sous la surveillance de mon père. J'avais passé mon brevet avec facilité et j'allais enfin retourné dans un établissement scolaire pour ma seconde au lycée. Et c'est à ce moment là où j'avais décidé de changer.

Je m'étais faite teindre les cheveux en rose, ma mère n'avait pas tellement apprécié même si mon père n'avait pas arrêté de rigoler en trouvant que je ressemblais à un de ces bonbons ou à de la barbe à papa. Cela m'avait fait bien rire qu'il me compare ainsi mais grâce à lui, j'avais pu garder ma couleur malgré les nombreuses remarques que ma mère m'avait faite pour me dissuader de reprendre ma couleur d'origine. Mais j'avais pris ma décision, je n'étais plus la petite fille qui ne disait rien et qui faisait comme si de rien n'était. Je n'étais plus Marianne-Rose Summers mais Marjane Summers.

Depuis mon entré au lycée, j'avais cru que j'avais complètement changé de corps.
On ne me faisait plus de remarque désobligeantes ou bien des coups en douces pour qu'on me fasse virer. Au contraire, je m'étais très bien intégré et j'étais assez connu au lycée.
Le jour de mes 17 ans en début juillet, j'avais proposé d'inviter toute ma classe pour un laser-game. Ma journée s'était hyper bien passé, cependant...

À l'heure où ma mère devait me chercher, un conducteur avait perdu le contrôle de son camion et c'est à ce moment que ce fût le trou noir.
Quelques jours plus tard, je m'étais réveillé dans un lit d'hôpital et ont m'expliqua que ma mère s'était mise devant le camion avec sa voiture pour me protéger. Elle était morte pour moi, pour me protéger... Et mon père dans tout cela... Rien. Il avait complètement disparu au même moment que ma mère.

Pendant de longues semaines, je leur en avais voulu à tout les deux de m'avoir abandonné si tôt, alors que dans un an à peine, j'allais passé mon bac, que j'allais avoir 18 ans et je voulais qu'ils soient fière de voir leur petite fille qui devenait une adulte. Et voilà ce que j'avais reçu en retour... Un cadavre sans vie dans une tombe et des soupçons...
Par la suite, personnes dans ma famille ne voulait me garder et ont dû m'emmener dans un foyer.
Quelques jours plus tard, j'avais été adopté par un couple d'Écossais.
C'est ainsi que ma nouvelle vie commença.