CHAPITRE 8•

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Plusieurs mois passèrent Moustapha n'arrêtait pas de me courire après il m'avait même donner un petit télephone samsung en cachette et il m'envoyait des petits textos pendant la nuit et le petit matin et finalement je lui ai dit oui ...... oui que nous pouvions sortir ensemble mais il m'a demendé d'être discret et le temps de le dire à sa famille surtout sa mère.
Moi j'stressais et nerveuse de jour en jour en pensant à ce que dirais badienne une fois qu'elle l'aurais a pris mais contrairement à Moustapha qui était calme et bien en forme comme jamais , il me disait souvant que sa mère acceptera car elle aime tout ce qu'il aime ; je le crois mais pas à 100% car connais badienne ..... avec tous les taches qu'elle m'exige de faire sans pitié mais bon je crois en moustapha qui m'a promis de m'amener à maroc avec lui , une fois qu'on sera marié.

Ce matin je me réveille avec une douleur au ventre que je reconnais très bien et je s'avais que c'etait elles; mes règles ......
Au mon dieu je l'ai détestent telment, à mes périodes de règle je ne sais même plus comment je m'appelle; ni parler, ni manger , ni marcher , ni m'habiler correctement ; je fais qu'une seule chose pleurer jusqu'à ce que les deux premiers jours passent je me demande pourquoi autant de douleur pour des simple régles.

Et ce matin comme je ne pouvais pas marcher je suis décidé de rester dans cette porcherie qui me servaid de chambre.

Vers 8h 32mn j'entais la porte s' ouvir je lève ma tête commence à ouvrire ma bouche pour donner des explication pensant que c'est badienne mais non..... c'était kodou j'aurais dû m'en douter car si s' était badienne , elle donnerait un petit "toc" à la porte avant d'entre.

Kd: mais di dont la princesse n'est pas encore lever de son lit?

Moi: kodou je suis malade, et une princesse ne se lève pas à 8h du matin.

Kd: mais tu la ferme toi ; t'es loin d'être une princesse c'est juste une façon de parler.

Moi: j'ai pas di que suis une princesse. Mais laisse moi te dire que chaque fille est une princesse.

Kd: iow d donoko(toi tu ne l'es pas) car une princesse une vraie lala wakh d vie dans une château avec leurs parent et quand je dis parents c'est papa et maman nio takh may wakh.

Moi:..........

Kd: tu dis plus rien? Et tu pensais que comme on est dimanche aujourd'hui tu peux faire s'emblant d'être malade pour qu'âprès je fais tous les tâches à ta place.

Moi: .. ... mais non je pensais pas à sa bilae je. .....

Kd: mais je m'en fiche de ce que tu pense et maintenant lève toi car maman de demande.

A sa sortie mes larme n'arrêter pas de couler non seulement je pensais à ma mère mais aussi à mon iresponsable de père qui n'a fait que fuire ces responsablites.

Moi: oui badienne, vous m'aviez demandé?

Elle: oui; pk tu est en retar sophia?

Moi: non badienne je me suis comme d'habitude à 06h mais je me suis recouché car mon ventre me fai mal.

Pas l'appel de le dire mon corps et ma voie le prouver car je ne pouvais même pas rester debout mes jambes tramblaient.

Elle: ahh se sont tes régles!

Moi: oui (un peu honteuse).

Elle: mais ma chérie tu sai qu' il n'y a pas de remède pour saa. Alors va travail devant qu'il ne soit trop tard c'est ici qu'on connait une vrai femme.

Sans répond je parti direct dans les toilettes et ..........

Après mes fameuses règles je suis redevenu une fille normale et pleine de rêve comme tout le monde.

SANS COEUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant