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Question : Les Peuls du Mali existent bien, ont est d'accord ?

- C'est mort ! » je dit abasourdi. Il est hors de question que je met ma carrière en jeu alors qu'elle est même pas encore commencée.

- Tu veux qu'Émilie prenne des années en prison, c'est ça ? » dit-il dégoûté.

- Je m'en fou en faite ... » je roule des yeux.

- T'es ma seule chance Amira, je t'en supplie » elle me dit.

- Je peux pas infiltrer le réseau de justice, ce que vous me demandez est infaisable ! Ont est pas dans un film, réveillez-vous bandes d'imbéciles » je rigole jaune.

- Mais t'es avocate, c'est sur que t'as accès à une base de donnée ou j'sais pas moi » dit Ramos.

- Faute. Je ne le suis pas encore donc je ne peut rien faire, et même si j'aurais eu accès à quelque chose comme tu le dit, je l'aurais jamais fait. Surtout pas pour toi Émilie »

- Quoi ? » elle dit en levant les sourcils.

- T'as très bien compris. Qu'ont mette les choses au clair, ont c'est jamais entendue toi et moi. Si t'aurais pas eu ce problème de drogue, tu ne m'aurais même pas occupé clairement donc remballe tes larmes de crocodiles parce que je vais rien faire pour ta gueule » je lui lance un dernier regard et passe devant elle pour partir mais Ramos n'était pas du même avis. Il a pris mon poignet et m'as tirée de force vers lui.

- Combien tu veux ? 100 euros, 500 euros, 1000 ? » il avait sortit son portefeuille et manipulait ces billets. Je l'ai arrêté d'un coup brusque.

- Tu ne m'achète pas avec de l'argent »

- Alors aide-la. Aide-nous la putain de ta race Amira ! » En un mouvement, son poing avait atterri sur le miroir, ce qui l'avait fracassé. Émilie et moi ont a sursauté tellement ont s'attendais pas à ça.

Ces phalanges pissait le sang et il avait même pas l'air de s'en rendre compte.

- Mais qu'est-ce que ... » je dit en chuchotant et en me prenant la tête.

- Tu saignes ! » Émilie prend sa main pour voir le dégât mais il l'insulte.

- Tu m'casses les couilles Émilie, t'es comme ta mère j'ai juré ! Vas-y casse-toi la ! » il l'as bouscule et s'enferme dans sa chambre. La flasque de sang le suivait et ça avait taché le tapis blanc.

- Je vais t'aider mais ça ne se feras pas comme ça. Tu m'as tellement enmerdé que j'ai même plus envie de te rendre un service, mais si je le fait c'est juste parce que ... Je sais même pas pourquoi enfaite mais sache que tu me devras une fière chandelle »

- Vraiment ? »

- Je vais rien infiltrer, tu peux en être sur mais je vais te donner des conseilles pour pas que tu périsses en prison. C'est le seul truc que je peux faire » je souffle et me dirige vers la chambre à Ramos. Vue son poignet, il auras besoin de points de suture et c'est pas en restant là que tout va s'arranger.

Je toque doucement mais il ne répond pas. Je l'entendais gémir.

- Ramos, c'est moi »

- Rentre »
J'ouvre doucement la porte et la referme. Il était torse nu et avait pris son chandail comme pansement pour sa main.

Amira - La bague au doigt suffiraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant