Amira, 19 ans quitte le Canada pour se rendre en France. Las-bas, elle va devoir assimiler école, travail et pourquoi pas une vie amoureuse.
Vivre avec une famille recomposé ne lui rendront pas la vie facile ...
DISCLAIMER :
Certains chapitres con...
Un peu plus tard, j'avais pris une petite sieste et je sais pas pourquoi mais j'avais remarqué que ces temps-ci, j'avais tendance a dormir pour rien et j'avais des nausées, je me sentait trop trop mal. Ma mère sauvage comme elle est, rentre dans ma chambre et me crie dessus pour que j'aille acheter des bananes plantains.
- Mais pourquoi moi putain ! »
- Quel putain ici !? Je vais te foutre ton putain dans le cul ont va voir ! »
- Maman je me sens mal là, demande à Ahmed ou Fatima j'sais pas moi .. » je met l'oreiller sur ma tête pour éviter de l'entendre crier dans mes oreilles.
- T'iras t'acheter des dolipranes en même temps, je te pose l'argent dans ton sac et ne tardes pas dehors il commence à faire nuit »
Mais c'est quoi cette merde sérieux ? Y'a 2 voitures ici et ont me demande à moi d'aller marcher pour acheter des bananes ?!
- Je m'en bas les couilles je vais utiliser la voiture même si je sais pas conduire » je dit sa en chuchotant tellement j'étais vénère et je me lève enfiler un windbreaker bleu marin et un short noir, il faisait tellement chaud ici. Mes cheveux oublié sa c'était du n'importe quoi alors j'ai enfilé ma casquette et puis basta.
J'étais en mode clocharde mais une belle clocharde tu vois ?
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Je prend les sous que ma mère a placer et je go au marché pour aller chercher sa merde que je vais même pas manger d'ailleurs.
Le soleil me tapait grave j'allais faire un malaise. J'avais finis de prendre les bananes et je m'étais embrouillé avec une tantine africaine las-bas. Elle m'as tellement énervé que je lui est dit : tagueule.
Arrivé à la pharmacie, j'ai pas cherché à droite ou à gauche, j'ai directe couru vers l'étagère des dolipranes et j'en ai pris un. Je me suis dise que j'allais aussi prendre des bonbons même si j'allais me faire niquer.
J'allais prendre un sac d'Hariboo et je vois un bras musclé et imposant devant ma tête le prendre avant moi. Normalement je m'en battrais les couilles mais c'était le seul sac qui restait.
- Hé mais toi ! » je me retourne en tshipant.
Quand je l'ai vue, j'ai bloqué pendant un moment tellement il était beau, la vérité. Sa carrure me gênait et je me sentais toute petite.
- T'as un problème ? » il me regarde en souriant.
- Bah c'étais mon sac quand même » j'évite son regard parce qu'il m'intimidait un peu.
- Ah ouais ? » il me taquinais, ça s'entendait trop dans sa voix.
