chapitre 2 - courage.

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PDV de sheferd

J'attends depuis déjà trente minutes ma nièce avec ma pancarte où est inscrit son nom. C'est un pari risqué que je fais là, mais je me sens coupable de l'avoir laissé tomber après la mort de sa soeur.

Puis je la vois, elle est devenu une magnifique femme. À peine 25 ans et surnommé comme surdoué de son cursus. Ces longs cheveux noirs, sa peau pâle et ces yeux bleues, le portrait cracher de sa mère. OK,je connais tous ces symptômes et en tant que neurochirurgien, je me dois d'être exemplaire.

Elle arrive doucement vers moi et relit la pancarte nerveusement en gesticulant sa main gauche comme si elle voulait me saluer.

- ravi de te revoir Anastasia, dis je pour la rassurer.

Elle me regarde en fronçant les sourcils, j'ai parlé trop vite...

- oh, tu n'as pas compris ce que j'ai dit??, demandais je inquiet

Oh j'ai oublié elle n'aime pas les questions aussi.

- enfin je...

- je... Je... Suis contente que vous vous rappelez de moi oncle shepherd, me dit elle sans me regarder une seule fois.

Elle vérifiait une liste. Bien sûre...

- moi aussi. Tu me suis nous allons à ma voiture.

Elle hoche la tête et me suis en silence. Elle était bien plus bavarde collé à sa soeur. Mais comment entamer une conversation avec elle sans poser de question ?

- excuse pour la température, le temps est bien mieux ici tu sais..

Elle regarde autour d'elle. Nous sortons de l'aéroport et là elle a l'air émerveillé.

Nous montons dans le taxi que j'avais réservé parce que je n'avais pas très envie de conduire aujourd'hui. Elle regarde par la vitre le paysage.

- il fait beau... Presque tous les jours...ici?, me demande t elle.

Je ne sais pas pourquoi mais je suis tellement ravis. Nous entamons donc une petite conversation où elle pose les questions et moi je répond.

Nous arrivons enfin devant l'immeuble qui abriterait sa maison si elle venait à être engagé dans mon hôpital. Nous montons et je l'ouvre la porte de son appartement. Elle rentre à tâtons, j'ai pas eu trop le temps de le remplir étant donné la situation.

- Pardon si l'appartement n'est pas plus aménagé.

Elle se retourne vers moi et hoche la tête négativement.

- humm,....c'est pas votre faute. Je...je comprend ...la situation. Et je....m'occuperai de payer moi même la décoration,si...si je suis accepté.

the good hospitalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant