chapitre 3

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Bonjour à tous ! J'espère que mon chapitre vous plaira et n'hésitez pas à mettre des commentaires. Bonne lecture ! 


Chapitre 3: le traumatisme 


Seitarô attendait dans la salle d'attente que moi et Sanae sortons de la salle d'opérations. Sanae sorta mais dans le coma et je sorta trois heures après aussi dans le coma. Sanae se réveilla un peu plus tard et dit:
- papa... papa, est... mort...
- c'est vrai Sanae ? Non...
- Seitarô. . .  Ou es oni-chan ?
- dans sa chambre d'hôpital.
- il va bien ?
- oui. Viens on va le voir.
- oui.
Ils sortirent et allairent dans ma chambre. Arrivé ils me virent attaché à des fils avec un plâtre à la jambe, un à la main et mon dos était plein de bandages.
- oni-chan. . . Il est tellement bléssé.
- toi aussi. . .
- moins grave que lui. J'ai juste quelques bleus.
- je vois. Il nous a tellement protéger que le voilà dans cet état.
Il me regardairent encore une fois puis s'assirent à côté de mon lit. 3 mois plus tard je me réveilla de mon coma ce qui rassura Seitarô et Sanae mais quand une infirmière entra dans la chambre j'hurla de peur.
- oni-chan ! !
- ça va monsieur ?
- sortez! ! ! 
Elle sortit désemparée et mon frère s'approcha de moi.
- calmes toi. . .  D'accord ?
- désolé. . .
- c'est rien. Au faite est-ce que papa est mort?
- oui... désolée je ne savais pas comment vous le dire...
- ce n'est pas grave maintenant on le sait. 


Je m'asseya lentement et regarda la pièce. Puis quelques mois après je découvris que Seitarô et Sanae avaient un traumatisme qui fesait qu'ils avaient peur dès que quelqu'un ouvrait la porte, pareil que moi quoi. 


- Seitarô. Sanae. Je ne vais pas aller en cours.
- hein ? Pourquoi ?
- parce que je vais essayer de m'occuper de vous.
- je vois.


Quelques jours après on sorta de l'hôpital et en voyant la foule de personne dehors qui me regardaient j'eu envie de vomir. Je m'éfondra sur le sol et m'évanouis. Quand je me réveillis je vis encore une chambre d'hôpital et mon frère et ma soeur me regardairent. Je détourna les yeux me sentant fautif de ma faiblesse. Seitarô s'approcha de moi et me prit dans ses bras. Je pleura et dis:


- désolé. . . 


- t'inquiète pas.

Les sentiments de Midorima ( Fini )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant