ROYALE

8.

-Anita parle moi un peu de toi. Pourquoi tu es venu en France? Lui demandais-Je en croisant les bras sous ma poitrine.
-Je suis venu car je trouve que la France est un tres beau pays. Les habitants son merveilleux et la reine est mon idole. Je suis venu au château dans le but de la servir mais malheureusement il n'y avait plus de place pour moi à son service donc on ma proposer de vous servir et jai accepter. Quel plaisir de servir sa fille qui est tout aussi charmante, dit elle en faisant une révérence qui m'arrache un sourire.
-Et de quelle ville viens tu?
-Je viens de Genova. C'est tres beau et puis toute ma famille est la bas. Ca été très dur de les quitter et ils n'étaient pas content que j'aille en France car ils ne vous aime pas du tout.
-Je suis désolé pour toi.
-Ce n'est pas grave. Je me suis habituée ça fait six mois que je suis à paris et je me suis fait des amis.
-Tant mieux.
  Elle me sourit une dernière fois et lily leva les yeux au ciel. Je repensais à ce que je devais lui demander : Le règlement des domestiques. C'était un recueil où toutes les règles établis par la mère étaient présentes et il fallait toutes les respecter sachant qu'il y en avait énormément. C'était très dur de tout apprendre. La reine pouvait surgir à tout instant en te demandant de réciter une règle qu'elle choisissait au hasard. Si tu réussissait elle te laissait tranquille mais si tu échouais tu étais mis à la porte. Vous allez dire que c'est très malsain mais c'est comme ça. Je compte bien changer des choses quand je serais sur le trône.
-Anita?
  Cette dernière s'avança vers moi.
-As-tu lu le règlement des domestiques?
-Je l'ai lu deux fois votre altesse mais si vous le désirez je peux le relise cela ne me dérange point. Je vias essayer de l'apprendre par coeur.
-Ce n'est pas la peine. Lily? Va montrer à Anita l'atelier de couture.
-Avec plaisir votre altesse.
  Et toute deux sortirent de la chambre encore une fois quand à moi je m'ecroulais sur mon lit, épuisé.

-Votre altesse ?
  Je me réveillais par une servante.
-Que ce passe-t-il?
-Je viens vous apporter votre dîner.
-D'accord posez le sur la table.
  Elle posa mon repas sur la table, fit une révérence et sorti. Je me mis debout, m'assit sur la chaise en fasse de la table et commençais à manger.
-Votre altesse, S'écria Anita en entrant, il c'est passer quelque chose d'affreux!
-Quoi?
-Lily a été agresser!
-Mon dieu!
  Je sorti et accourut du plus vite que je pouvais dans sa chambre, Anita et Clément sur les talons.
-Votre altesse vous devez rester dans votre chambre! Cria Clément.
  Je ne lui répondit pas. Je dévalais les escaliers, traversait la cour pour rejoindre les appartements des domestiques et quand j'arrivais enfin devant la porte de la chambre de lily, j'entrais et je la trouvait sur le sol, évanouit. Elle avait un œil au beurre noir et saignait du nez.
-Lily!
-Votre altesse vous devez...
  Clément s'arrêta en voyant Lily.
-Clément allez chercher un médecin et toi Anita préviens la reine.
  Ils répondirent d'un hochement de tete et partit.
-Lily ne t'inquiète pas je suis la, tout va bien.
  J'attendis vingt minutes en la tenant dans mes bras.
-Votre altesse, je contrôle à présent la situation si vous voulez bien vous décaler.
  Je laissais place au médecin qui l'osculta d'un œil expert. Il sortit ensuite un carnet et un stylo de son sac et commençait à écrire.
-Alors, une fracture au poignet, une petite bosse dur la tete et une blessure à l'œil.
-Je vous préviens Anita si vous m'avez fait venir pour rien je vous punirais!
  Mere entra furieuse. Elle détestait être dérangé. 
-Alors Que ce passe-t-il ici? Demanda t elle en regardant le corps.
-Et bien, dit le docteur, cette chambrière c'est fait agresser et elle a une fracture au poignet et une blessure à l'œil.
-Donc elle n'est pas morte.
-Non mais ce qui veut dire qu'un criminel rode dans la palais.
-Oh mon dieu!
-Et c'est ça qui est à craindre.
-D'accord je vais prévenir mon mari, vous docteur aller mettre cette femme de chambre a l'infirmerie et toi, elle me désigna du doigt, tu vas retourner dans ta chambre sous l'œil de ta chambrière et de ton garde.
  Elle ma foudroya du regard avant de sortir. Je fis de même juste apres elle et je regagnais ma chambre. Décidément, voir une chambrière se faire agresser ne lui faisait ni chaud ni froid.
-Votre altesse, Anita posa sa main sur mon épaule quand je me remis à table, je suis absolument désolé pour ce qui c'est passée. Malheureusement je crois qu'elle ne pourra pas nous accompagner à paris.
-Je me fiche complètement de son etat, elle viendra avec nous !
-Mais...
-Il n'y a pas de mais est ce clair?
  Elle hocha la tête.
-Maintenant est ce Que tu veux bien te retirer pour Que je mange tranquille ?
  Elle sorti de la pièce à grandes engembées. Elle obéissait au doigt et à l'œil!
  Je finis mon repas puis j'allais me préparer pour la nuit. Quand je fus prête, je me glissais sous mes draps et m'endormit.