Chapitre 1 : L'entraide

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Il était 17h dans la capitale dite de l'amour, Paris. Magally Starkon, jeune fille de 17 ans quitte son dernier cours de sa journée de droit. Elle ne sait pas encore dans quel métier elle voudrait aller mais elle sait une chose : c'est que se sera en lien avec du droit mais pas n'importe lequel le droit pénal. Ce jour là elle avait décidé d'orné sa chevelure noire d'une longue tresse. Sa meilleure amie lui avait dit que cela m'était en valeur ses yeux noisette. Elle avait également opté, même si son père n'était vraiment pas pour se style, d'une jupe noire avec des clous sur les cotés, comme si ceux-ci formait une poche, avec une chemise orné d'un corset de taille pour agrémenté son haut blanc. Son père n'aimait pas se style car Magally, lors de sa sortie des cours du vendredi ainsi que les week-ends, passait au centre pénitencier pour aider sa mère à l'infirmerie. De ce fait beaucoup de détenus enfermés là bas ne se gênaient pas pour apprécier la beauté de la fille du maton. Ce qui leur valaient des réprimande mais jamais plus car son père, James de son prénom, n'avait en aucunes façon le droit de toucher à un prisonnier sauf cas extrême. C'est-à-dire lorsque sa vie en dépendait, il s'agissait du seul moment où il pouvait se défendre avec violence.

Nous étions donc vendredi et Magally arriva comme toujours à 17h45 devant la porte de l'infirmerie qu'elle ouvra quelques minutes après, après avoir pris un bol d'air car elle n'appréciait pas les personnes pouvant si trouver pour se faire soigner. Pour elle il ne s'agissait que de criminel qui avait mérité leur place dans se trou. Elle salua sa mère d'une bise sur la joue. Marie, sa mère lui posa les mêmes questions : comment était ta journée ? Ta meilleure amie Lucy va bien ? Tu me le dirais si tu avais un copain ? Cette dernière avait le dont d'exaspérer la jeune étudiante. Elle ne souhaitait pas avoir un petit ami, enfin pas pendant ses études car elle ne voulait pas être distraite de son objectif. Pendant que sa mère s'occupait d'un patient ayant fait une crise cardiaque récemment Magally comme à son habitude commençait à nettoyer les outils de sa mère et à ranger ce qui traînait ça et là. Mais dans un vacarme assourdissant un détenu se fit allonger par deux gardiens de prisons sur une civière. Marie abandonna son patient pour s'occuper du nouveau qui avait l'air de s'être battu et qui s'était pris un coup de couteau dans le flan droit.

« Magally apporte moi ce dont j'ai besoin : gel hydroalcoolique, antiseptique, ciseau, fil, aiguille, pansement... »

Magally s'exécutât à une vitesse folle et ramena tout en un rien de temps à sa mère. L'infirmière commença par découpé le t-shirt du jeune homme, car il devait avoir au maximum 19 ans mais pas plus, pour pouvoir accéder à la plait. Magally se surprit de s'attarder sur les abdominaux du garçon. Elle n'avait pas encore pris le temps de l'observer. Il était grand, presque aussi grand que son frère Antoine, avait des cheveux aussi noirs que ses propres cheveux. Elle ne pouvait distinguer ses yeux car ceux-ci étaient clos, surement à cause de la douleur. Elle doit bien l'avouer il était mignon à regarder. Sa mère fini au bout de 20 min de recoudre le délinquant. Elle demanda aux deux matons son nom, ils lui répondirent qu'il s'agissait de Jeff Parton. A se moment précis il y a eu comme un tilt dans la tête de l'étudiante elle reconnu celui allongé paisiblement sur la civière... « Demon » était son surnom. Elle s'était déjà fait reluqué par les membres de son gang, mais, sauf erreur de sa part, jamais « Demon » ne l'avait fait, elle aurait même tendance à dire qu'il réprimandait ses gars lorsqu'ils le faisaient. Il avait peut-être encore un peu d'honneur car c'est bien connu que les gens se trouvant ici n'en avait pas ou alors très peu. Marie termina de ranger et de faire la paperasse. Magally parti de l'infirmerie pour aller dire bonjour à son père qui ne se trouvait pas trop loin étant à l'étage au dessus de l'infirmerie.

« Coucou papa. »

« Coucou Mag' » Il la toisa de haut en bas. « Combien de fois faut-il encore que je te le dise ne t'habille pas comme ça et surtout pas ici. Tu sais tout ce que j'entends et tout ce que ces petits merdeux me disent à propos de toi ?! Comment veux-tu que je me fasse respecter si je n'arrive même pas à me faire écouter par ma fille ?! »

Vivre d'amour et de gangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant