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« Tu m'avait promis de ne jamais m'abandonner »

Passons quelques mois.

Pendant ces mois je n'ai fais que réviser.

J'ai rayer tout mes amis de la liste, je ne sors plus à part quand ces nécessaires.

Je ne reste qu'avec Elyka et Kassy mes seules potes.

Les premieres épreuves du bac se rapprocher donc je me focalisée sur mes révisons.

On est le week-end et je suis comme d'habitude chez moi à faire une petit pause.

Je me suis vraiment familiarisé à ses lieux.

Ça sera bizarre quand je serais plus là.

Oui ! Même après plusieurs mois je n'ai pas changer d'avis, je suis déterminer à m'en aller.

Sachant que dans 2 semaines c'est mon anniversaire donc j'aurais enfin 18 ans.

Je serais majeur et j'aurais le droit de tout faire.

Je n'ai pas parler de ma décision à Maria pour l'instant mais quand les épreuves seront finis je lui avouerais.

Mais rien ne me retiens dans cette ville.

Après mes révisons Maria m'a demander de sortir acheter quelque trucs.

Comme c'est elle qui décide j'ai bien-sûr accepter si on peut dire ça !

Elle m'a demander d'aller acheter des ingrédients à la boutique du coins.

Je suis descendu avec une capuche sur la tête, on sais jamais si y'a encore les agresseurs de la dernière fois.

Et ouais je vous est pas dis !

Comme la nouvelle c'est répartis de partout j'ai eu le droit à des connards qui viennent m'agresser alors que j'étais avec ma tante.

Ils voulaient que je leur donnent de l'argent et ils ont commencer à me frapper.

Heureusement Maria c'est défendue et n'a rien eu alors que moi j'étais en sangs.

Par je ne sais quel miracle un homme est venue m'aider et c'est enfuis sans que je puisse le voir.

J'étais à la fois soulager et frustré, d'un côté je suis heureuse qu'il met sauver la vie mais d'un autre j'aurais bien voulue rejoindre mes parents.

Ouais je sais c'est très sombre ce que je dis mais vraiment il n'y a plus rien qui me retient dans ce monde même pas ma fortune.

J'avais déjà fais un testaments sachant que tout le monde voulais ma mort pour avoir mon argent.

Tous seraient déverser à ma tante et ma cousine et même vivante quand je ne serais plus là je leur transmettrais tous les mois une somme pour qu'il puisse partir et avoir une belle vie.

Je ne veux que leur bonheur, la seule famille qui a bien voulus m'accueillir et que j'ai aimer.

Bref revenons à mes courses, j'étais déjà arriver devant le magasins.

« Un Combat Impossible »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant