Allemagne / France La guerre est déclaré.

Chapitre 2 le carnage

 J'étais un homme brisé à tout jamais sans cœur ou du moins il était de glace, j'étais brisé car je verrai jamais mes petits garçons grandir ; j'ai perdu mon ami et je ferais des dégâts encore plus graves.

Quelques jours plus tard James et moi alors qu'ont été sur le front contre les Allemands qui nous canardaient aussi vite qu'ils le pouvaient et je réussis à toucher quelqu'un important mais la personne en face s'est vengée sur James et lui tire dessus ; Il était mortellement touché. Je l'ai ramené dans les tranchées pour essayer de le guérir mais il était trop touché, je voyais le sang couler, je me sentais pas bien, je ne savais que faire, j'ai appelé à l'aide mais j'avais l'impression que personne ne m'entendez, je hurlais au secours, à l'aide, James souffrait. ça se voit sur son visage .il me regardait avec des yeux très tristes , il gémissait de douleurs, il me fait signe de se pencher vers lui chuchote à l'oreille « je t'en prie je t'en supplie tue moi » Alfred : « non ,James , non voyons , je ne peux pas faire ça ne oblige pas te tuer, je ne peux pas (les yeux pleins de larmes se voix sanglotant) James « je t'en prie, je t'en supplie Alfred ,ne me laisse pas souffrir » Alfred braque son fusil à baïonnette vers James et appuie sur la gâchette.

Alfred se lamente et de pleureur autour du cadavre de son ami la guerre durera quatre ans nous avions perdu des milliers d'hommes et nos alliés nous avaient laissé tomber ;On se battait seul contre les Allemands et pendant quatre ans je n'étais plus jamais été le même un mois avant la fin de la guerre, j'ai eu une semaine de repos et j'en profite pour rentrer chez moi et aller voir mes petits garçons Severus et Scott ;Quand j'arrive à la maison ont été content de voir mais moi je commençais à devenir un peu parano même dans la campagne la plus éloignée, j'entendais encore les bruits de fusil ,des obus ,le froid qui me gelait jusqu'aux os. J'étais paranoïaque, je suis devenu fou, voilà les ravages de la guerre sur des soldats beaucoup de problèmes mentaux, beaucoup trop long.

Le lendemain alors que je me promenais en dehors de maison toujours avec mon fusil à la main, je me sentais menacé, je passais devant l'enclos de Rumbosa et Whisper me sentant menacé car Whisper se cabrait devant moi ; je pointe mon fusil vers lui et lui tire dessus Aurore ayant été attiré par le coup de fusil arrive aussitôt en courant avec Scott Severus dans les bras aussitôt elle s'effondra en pleurant. Le chien hurlait à la mort. Rumbosa hennit de toutes ses forces, on voyait le long de ses yeux des larmes couler.