Chapitre 9

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Nous remontons dans ma chambre, encore plus gênés. un nouveau silence s'installe.

*Kokomi: Je crois que cette fois je vais craquer, je ne sais pas si je suis la plus chanceuse ou la plus malchanceuse de l'univers.*

Moi: Je dormirais dans le salon.

Kokomi: Mais non! C'est rien, ça ne me dérange pas de dormir dans la meme pièce que toi. Enfin, peut être que toi ça te dérange après tout...

Moi: C'est comme tu veux.

C'est surement la première fois que je suis mal a l'aise au point de me sentir ridicule. Apres quelque minutes, nous nous changeons (Pas dans la même pièce petit pervert!) puis j'installe un futon a côté de mon lit pour elle.

Kokomi: Au fait Saiki-kun, je me rends compte que je n'ai pas pris le temps de bien te remercier.

Elle s'accroupit puis se penche en avant.

Kokomi: Merci infiniment de m'avoir sauvée Saiki-kun.

Moi: Ne dramatise pas la chose, relève toi. Le rôle de la princesse en détresse ne te vas pas du tout.

Elle lève la tête vers moi et me regarde avec étonnement. Elle... m'apparait soudainement très mignonne... je ne l'avais jamais vu de cette façon là. Elle se redresse mais me regarde toujours.

Kokomi: Saiki- kun?

Je ne réponds pas. Je n'arrive pas à détourner les yeux. Je ne pensais pas pouvoir ressentir ce sentiment un jour. Je m'approche d'elle, un peu trop puisqu'elle commence à rougir mais je ne me détourne pas. Je me rapproche encore... jusqu'à ce que... nos lèvres se frôlent. Je mets un terme à mes tourments et colle mes lèvres aux siennes.

(NDA: DÉBUT DU LEMON!!!! j'informe juste que jusqu'ici, si vous suivez mes autres fanfictions, vous savez que mon lemon n'a jamais été très... démonstratif. Mais cette fois je vais tenter de faire quelque chose d'un peu plus hard disons. Faites gaffe les enfants! Ce n'est pas pour vous!)

Je m'attends à ce qu'elle me repousse de surprise mais ce n'est pas le cas. Au contraire, elle se joint a moi. Je mordille sa lèvre inférieure pour lui demander le passage, elle entrouvre les lèvres puis je passe ma langue dans sa bouche. S'enchaine alors une danse enflammé avec sa jumelle. Quelques minutes plus tard (je ne sais pas combien, j'en ai perdu la notion du temps) nous nous séparons à cause du manque de souffle. A mon plus grand regret je dois dire. On reprends calmement notre souffle tout en se regardant dans les yeux. Je me lève finalement puis me dirige vers la porte de ma chambre que je ferme à clé.

Kokomi: Saiki... kun.

Moi: C'est toi qui choisi.

Elle semble hésiter puis acquiesce l'air déterminée. Je retourne vers elle pour l'embrasser de nouveau, je la prends dans mes bras et l'assoie sur le lit. J'embrasse son coup puis descends jusqu'à son décolleté. Tout en continuant de l'embrasser, je pose ma main sur sa cuisse puis la fait remonter petit a petit sous sa chemise de nuit, elle frissonne. Je finis par lui retirer son pyjama et elle se retrouve en sous-vêtements. J'embrasse chaque parcelle de son corps, de sa peau si douce. Je me déshabille a mon tour pour me retrouver en caleçon. Je dégraffe lentement son soutien-gorge puis sa culotte. Elle est à présent totalement nue. Elle rougit a vu d'oeil mais ne proteste pas. Je pose un doigt sur son intimité et la caresse lentement. Elle gémit faiblement. Je rentre doucement mon doigt ce qui la fait pousser un cri de surprise. Je fais de léger vas et viens puis insére un deuxième. Elle gémit de plus en plus fort.

Kokomi: Saiki... kun... Plus...

Je retire mes doigts puis enlève mon caleçon. Je pénètre doucement en elle pour lui faire mal le moins possible. Elle pousse un petit cri de douleur, je m'arrête pour attendre qu'elle n'ait plus mal. Elle bouge légèrement les hanches pour m'indiquer que c'est bon. Je commence alors des vas et viens, d'abord lents puis de plus en plus rapide et profonds. Elle gémit a présent de plaisir, de plus en plus fort jusqu'à ce que ça devienne des cris. Je les étouffes en l'embrassant puis je ralenti. Je sens que je ne pourrais bientôt plus me retenir. Je me vide en elle tandis qu'elle jouit a son tour. Je me retire et la prends dans mes bras. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
Le lendemain, je suis réveillé par la lumière du soleil filtrant à travers les rideaux. J'ai toujours Kokomi dans les bras, elle dort paisiblement. Je me penche et l'embrasse jusqu'à ce que je me rende compte d'une chose:

Je n'entends plus ses pensées.

Je me suis d'abord dit que c'est parce qu'elle dormait mais dans ce cas, je devrais percevoir ses rêves. Non, mes pouvoirs ne marchent définitivement plus sur elle.


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KUSUO: [////]

KOKOMI: >////////<

MOI: Allez, soyez pas gênés, c'est votre DESTIN!

KUSUO: Tu essaie de faire une référence aux Inconnus?

MOI: oui...

KOKOMI: ON S'EN FICHE! TA VU CE QUI S'EST PASSÉ?

MOI: Ben oui, c'est moi qui l'ai écrit.

KOKOMI: >///<

MOI: On a compris que t'étais gêné mais t'a enfin Kusuo pour toi donc te plaint pas.

ALLEZ CETTE FOIS JE VOUS LAISSE VRAIMENT! JE VIENS DE COMMENCER UN RECUEIL DE ONE SHOT EN TOUT GENRE ALORS N'HÉSITEZ PAS À Y JETER UN OEIL!

BONNE CONTINUATION!!!

Saiki Kusuo no Psi nan~La Maladie D'AmourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant