Rentrée, coming out terrible dysphorie

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Bon, alors pour commencer, je tenais à vous demander pardon de ne pas avoir été actif ces derniers temps.

Comme vous l'avez vu dans le titre, j'ai fais ma rentrée au lycée, en classe de première L, et franchement, pour le moment je m'y plais plutôt pas mal. Mon lycée est vraiment super et les prof, n'en parlons même pas tellement ils sont géniaux (malgré la prof d'histoire.......)!

J'ai donc fais mon coming out à mes ami.e.s, d'abord en envoyant une vidéo géniale de Hparadoxae (que je vous met en haut d'ailleurs) puis de vive voix pour ceux qui ne se souvenait pas. Seulement, c'est que moi même je suis assez confus sur ce que je suis donc j'ai du mal à exprimer ce que je voudrais mais surtout ce que que je suis.

J'en ai donc parler avec mes parents (et dieu merci, ils me prennent en fin au sérieux et en plus ils font... quelques minimes efforts mais j'en parlerais plus tard.) et ils ont décidé de m'envoyer vraiment chez un psy spécialisé pour qu'il m'aide à trouver réellement ce que je suis et les choses que je vais peut être ou pas pouvoir faire.

Et maintenant, parlons... de la ... dysphorie. Cette terrible chose qui n'apparait qu'à une seule occasion nette et précise: quand je vois ce garçon homosexuel dans mon lycée ou lorsque je vois n'importe quel garçon gay et/ou en couple. Pourquoi? Parce que mon corps ne me permet pas de pouvoir leur plaire ne serait-ce qu'une minime seconde. Ce garçon qui est dans mon lycée me provoque d'atroce crise, je ne me concentre plus encours, je suis froid, au bord des larmes et je pense à la testostérone, au fait que mon corps n'est qu'une petit merde alors qu'en réalité je l'adore! Alors, je blesse mes amies et mes amies me blessent parce qu'elles ne comprennent pas que c'est pas juste parce qu'il est gay, c'est beaucoup plus que ça. Parce qu'il me plaisait vraiment et que le fait de me sentir garçon ou non-binaire mais d'avoir un corps de fille me fais complexer au plus haut point. J'ai des envies de suicides en plein milieux des cours et il suffis que je le vois un quart de seconde et ça y est je suis partis pour une journée entière de dysphorie. Jusqu'à ce que je rentre chez moi et que je me rassure en regardant mon visage et mon corps que j'aime beaucoup.

Donc voilà, c'était le petit bilan de ces dernières semaines, j'espère que votre rentrée s'est bien passée! (racontez moi en commentaire ou en message!)

Rantbook d'un citron pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant