chapitre 2

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Nous arrivons devant le magasin. Je rentre avant mes amis et trouve un côté femme et un côté homme.

Jim: On doit s'habiller comment?
Moi: Trouvez un smoking qui fait un peu riche, tout en étant un peu extravagant.
Harvey: Eh bien, là j'aime bien!
Moi: Je vais m'acheter une tenue et je vous rejoins. Je vous payerai vos tenues et n'achetez rien sans mon accord.
Jim: Si tu es une habituée de ses soirée, tu n'as pas déjà des tenues pour ça?
Moi: Je suis une habituée et une affluenceuse, je dois donc me montrer dans de nouveaux vêtements à chaque fois.
Jim: D'accord, à toute suite.

Je pars de mon côté et les garçons de l'autre. Je vais côté femme et vois des pièces en cuirs. Je vais les essayer et je les achète.

Je pars ensuite voir mes collègues. Je les regarde, ils sont à la même place que toutes à l'heure.

Moi: Est-ce que vous êtes rester là tout le temps que j'achète mes affaires?
Harvey: Bah ouais...
Moi: Bon aller vener!
Jim: On va porter quoi?
Moi: Je ne sais pas. Allons, on va aller voir.

Nous voyageons entre les rangées de ceintre. Je vois deux beaux smoking qui seront parfait pour mes partenaires. Je leur donne, Jim à l'air dubitatif, mais il va quand même se changer.

Ils ressortent des cabines et ils leur vont super bien. Jim est vraiment super séduisant. Je souris et hoche la tête. Ils retournent se changer et nous allons payer leurs habits. Je leur donne l'adresse où nous devons nous retrouver et leur donne l'heure de rendez-vous.

Je rentre au manoir, je me dirigeants vers la salle à manger. J'y trouve mon frère et Alfred. Je m'assied et commence à souper.

Bruce: Alors ta première journée?
Moi: Ça va, j'ai deux coéquipiers. Jim Gordon et Harvey Bullock.
Bruce: Oh, je les connais. Enfin surtout Jim Gordon.
Moi: D'accord... J'aime bien mes coéquipiers, ils sont cool. C'est très bon Alfredo!
Alfred: Merci, Mademoiselle.
Moi: De rien, je ne rentrerai sûrement pas ce soir.
Bruce: Pourquoi ça?
Moi: Je dois aller quelque part pour une enquête.
Alfred: Je suis sûr que vous allez bien travailler.
Moi: Oui! Et j'aurais peut-être une chance avec Jim.
Alfred: Il est en couple, il me semble.
Moi: Oh c'est des choses qui changent.

Je souris et sors de table.

***

Une demi-heure après le coucher du soleil, je suis devant la salle de rendez-vous et j'attends mes collègues qui arrivent.

Lorsqu'ils me voient, ils se stop et ouvre la bouche. Je m'avance vers eux et leur prend un bras. Nous entrons dans la salle. Un garde est à l'entrée.

Garde: Nom.
Moi: Acacalis.
Garde: C'est vos accompagnants?
Moi: Oui.
Garde: C'est un honneur, entré je vous prie.

J'hoche la tête et entre. Nous regardons autour de nous, nous observons tout le monde.

Inconnu: Bonjour, vous êtes la grande Acacalis?
Moi: Grande? Peut-être pas! Mais Acacalis, Oui. Et vous?
Inconnu: Inntoule, pour vous servir...
Moi: Oui... Merci

Je vais me chercher un verre accompagné par Jim. Harvey était déjà avec un verre de whisky et partait vers des jeunes femmes pour les "interrogé".

Moi: Jim allons danser, nous aurons une vue d'ensemble et j'ai aussi envie de danser.
Jim: D'accord, mais seulement pour avoir une meilleure vue.
Moi: Ça fait toujours du bien de se sentir apprécier.

Sur ce je m'en vais chercher quelqu'un d'un peu moins gouja. Je vois un homme séduisant, mais sans plus, et je lui demande d'aller sur la piste de danse.

Moi: Alors... Vous êtes ici depuis longtemps? Je veux dire, vous faites partie du groupe depuis longtemps?
Homme: Oui, je suis l'un des premiers. Oh, je m'appelle Stanislav.
Moi: Oh vous...

Un main se pose sur mon épaule, je me retourne et vois Jim. Stanislav me lache et s'en va.

Moi: Que veux-tu?
Jim: Désolé, mais j'ai une petite amie.
Moi: Premièrement, des personnes en couples peuvent danser avec des amis ou autres. Deuxièmement, je n'ai jamais dit que je voulais que vous la trompiez avec moi!
Jim: Je sais... Je m'excuse.
Moi: Ouais. Bah on va s'en tenir au relations de travail. Moi qui pensait que nous pourrions devenir amis.

Je commence à observer les personnes présentes à la recherche de Marci. Je le vois monter sur une petite estrade.

Moi: Merde, ça va commencer...

Je lâche Jim et pas vers Marci. Je n'arrive pas près de lui, avant que les lumières ne s'éteignent. On m'attrape par derrière. On me met un chiffon sur le visage et je m'endors.

Je t'aimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant