Bonjour, j'espère que vous allez bien, alors c'est un petit prologue j'espère que mon histoir vous plaira, il y'a des événements réels, des action un peu violente mais tout ça pour que vous imaginez les scènes et merci.
Tout étais bien ,j'etais une fille sage, étudiante universitaire , sérieuse et sûrement inoscente, mais j'ai un fort caractère dès mon enfance j'étais réputée par mon caractère je fais ce que je veux et personne a le droit de me donner des ordres à part mes parents qu'ils me donnent les conseils, mes parents avaient confiance en moi, alors je vivais seule à Monaco , afin de terminer mes études de droit, la vie Était belle pour moi, la richesse de mes parents , mes amies, Monaco où je vis, alors que cette vie cache que les surprises surtout les mauvaises.
J'étais aveuglé, ma vie Été boycotté ce jour là, j'étais en route à mon appartement bien sûr j' avais ma voiture, après la longue soirée que j'avais Passé avez mes meilleures amies j' étais toute souriante la music à fond fait vibrer mon coeur Malgré la nuit, la ville ne perds pas sa beauté, soudain je vis un homme costaud vêtu le noir complet en train d'agresser une vielle femme, mais le pire c'est le flingue qu'il tenait dans sa main, je coupa le moteur de ma Mercedes et avec un grand courage que j'avais jamais sentie en moi, peut être la scène qui se déroule sous mes yeux est la raison, mais à ce moment je m'en fichais.
_ hé ! lâchez la. Criai-je en froncant mes sourcils.
_ mêle toi de ta gueule. Cria-il à son tour en me lançant un regard noir,
il tient toujours la femme par le col et le flingue pointer au niveau de son crâne , je m'approcha d'eux tout doucement , je ne pouvais pas voir les traits de leurs visages , la rue était complètement déserte, et sa empirait la situation .
_ lâchez moi s'il vous plaît j'ai rien fait moi , heu ma fille aide moi ! . Cria-t-elle avant de sangloter._pourquoi ma soeur pourquoi ? Elle n'a rien fait ! tu vas me payer tous ça Salope. Hurla-t-il à son tour.
Là j'avais rien compris, sûrement ils se connaissent mais ça ne m'empêchra pas de les séparer , mais pourquoi je me mêle ? J'avais pas la réponse à cette question, quelque chose me dit que je dois le faire, je m'avança sûr de moi et attrapa la main d'homme qui tient le flingue, il tourna sa tête ses yeux dans un noir profond ce qui lui donne l'aire d'un monstre, il montre du chagrin, la colère et surtout la tristesse, certes je sais pas ce qu'il était arriver à sa soeur mais ce qu'il est en train de faire est horrible.
_pousse toi sinon tu regrettera. Dit-il d'un ton calme.
Je n'ai rien sentie en ce moment là, même la peur non, pleines de questions se tournent en boucle dans ma tête, une forte curiosité clochait en moi.
_ s'il te plaît arrête ça, regarde c'est une vielle femme, comment ose-tu ?.
_t'es qui toi pour me dire ce que je dois faire, tu sais rien, c'est une diablesse derrière ce portrait de grande mère. Hurla-t-il en lâchant la femme qui a vite changer d'humeur elle était calme comme si rien n'était passer.
_on se revoit très bientôt , tu sais que je tiens ma promesse. Ajouta-t-il en s'adressant à la vielle, avant de tourner son dos et continuer son chemin, vraiment son dos est bien musclé je l'observais jusqu'à que je le perds de mon champ de vision. Je tourna la tête vers la femme, elle est vraiment bizarre je la sens pas, elle est très calme ,elle s'essuyait ses vêtement d'un geste vif.
_Madame je vous mène quelque part ?
_Oui si tu as le temps ma fille, merci beaucoup pour ton aide.
_Ce n'ai rien.
On monta dans la voiture, et prenais la direction de boulevard qui est à côté de celui où j'habite, je l'ai jamais remarqué même si j'habite à côté, soudain j'entendis la sereine de police, je regarda par le rétroviseur , ils sont derrière nous, ils nous suivaient, mais qu'est ce qu'il y a ? Un malentendu peut être ? Sûrement.
_Putain ils nous suivent ! Accélére ! Jura la femme affolé.
_Quoi ! Mais pourquoi ?
_Fais ce que je te dis ! Dit-elle d'un ton autoritaire, mais si elle croyait que je suis naïve elle a tord, elle a pas l'air d'une inoscente .
_Non désolé je peux pas jouer avec la police.
Je freine tout d'un coup , la même chose pour la police,la femme tenta de s'enfuir mais vite, le policier l'attrapa avant de faire le moins geste, ils nous mettent les menottes ,j'avais mille fois répéter que j'en ai rien fait mais les policiers nous embarqua.
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PertualanganCertains pensent que la vie est trop belle pour en baver, mais il faut sûrement se méfier des gens et prendre tes précautions avant de tomber dans un trou d'une obscurité infinie. Tout a commencé le jour ou plutôt la nuit que j'avais utilisé ma naï...