Chapitre 8

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PDV Naira :


C'est aujourd'hui que je pars pour Barcelone. J'ai passé un séjour formidable et j'ai rencontré des gens extraordinaires. Je reviendrai tous les voir quand je le pourrai. Il est sept heures trente et mon avion est à huit heures. Il sera vingt-et-une heures à Barcelone quand je vais arriver. Je suis actuellement à l'aéroport avec mon frère. Quand il est l'heure pour moi de partir, je le prends dans mes bras et lui embrasse la joue. 


Moi : Tu diras au revoir de ma part à tout le monde ?

Pierre : Oui, ne t'en fait pas.

Moi : On se revoie bientôt.

Pierre : J'espère. Tu m'envoie un message quand tu arrives.

Moi : Oui, je te le promets.


Je lui souris et le prends une dernière fois dans mes bras. Je me dirige vers la porte d'embarcation et je me retourne une dernière fois pour regarder Pierre. Je lui fais un signe de la main et je disparais. Ils vont me manquer, j'aimais bien leur présence. Je m'endors quelques minutes plus tard.

Quand je me réveille, on est sur le point d'atterrir. Je n'ai rien dis à Phil sur mon arrivée. Je veux lui faire la surprise. Une fois que l'avion a atterri je prends mes bagages et appelle un taxi. Je lui communique l'adresse de Phil et j'envoie un message à Pierre pour lui dire que je suis bien arrivée.

Une fois devant chez Phil, je paie le taxi et sors avec mes valises. Je me dirige vers le portail du brésilien et fais le code puis entre dans sa propriété. Je sonne à sa porte et il vient ouvrir quelques secondes plus tard. Il est surpris mais un énorme sourire prend place sur son visage par la suite. J'entre dans sa demeure et pose mes affaires dans l'entrée. Je le prends dans mes bras et on va se poser dans son salon. 


Moi : Tu m'as manqué.

Philippe : Toi aussi. C'est bien la vie à Montréal ?

Moi : Parfait, il faudra que je t'y emmène un jour.

Philippe : Volontiers. Raconte-moi un peu ton séjour.

Moi : Tu sais pas mal de choses mais j'ai passé pas mal de temps avec Pierre et ses amis. Je m'entends vraiment bien avec eux et je rigole bien. Après avec mes autres frères, on se parle bien mais je ne suis pas aussi proche d'eux que je ne le suis avec Pierre.

Philippe : C'est bien alors si ses amis sont cool. Après une personne n'est pas forcément proche avec tous les membres de sa famille.

Moi : C'est sûr. 


On continu de parler un bon moment puis on va se mettre au lit vers minuit. Je me tourne et me retourne pendant trois heures sans trouver le sommeil. J'en ai tellement marre que je me lève et vais voir Phil dans sa chambre. J'entre sans frapper et me dirige vers son lit. Il dort comme un bébé, c'est trop mignon ! Je le secoue doucement et il ouvre les yeux dix minutes plus tard. 


Moi : Je suis désolée de te déranger mais je n'arrive pas à dormir donc je me disais que je pouvais venir avec toi.

Philippe : Oui bien sûr viens.

Moi : Merci Phil. 


26 ans de mensonge // Philippe CoutinhoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant