Partie 9:
- Viens, j’ai une surprise pour toi. Mais il y’a des règles, je te promets un plaisir extrême si tu les respecte.
- Hum, quelles règles ?
- N’ouvres pas les yeux, n’ouvre pas ta bouche, je te demande juste de te laisser faire et de sentir les plaisirs indomptables abreuver tout ton corps
- Hum ok
- Allonges toi sur le lit, tu peux enlever ta serviette ?
- Non s’il te plait je ne veux pas,
- Ok comme tu veux
Elle s’allongea et toute excitée par ce que j’allais faire. De dos, je mis un peu d’huile sur ma main et sur son corps, et commença à masser délicatement. De petits gestes de vas et vient sur son dos lisse. Elle s’abandonnait d’avantage à mes mains douces. Je l’entendais pousser de petits gémissements, son corps se détendait petit à petit. Puis je descendais au niveau de ses fesses, en les massant tout aussi légèrement sur la serviette. Puis des cuisses aux pieds passant par les mollets, rien ne devait être laissé en rade. Puis délicatement, je suis demanda de se retourner, elle s’exécuta. J’écartai légèrement ses jambes tout en les pliant. Je massais d’abord sa tête, ensuite ses tempes. Avec un peu d’huile, je descendrai lentement sur son cou. Elle ferma les yeux. Sentir mes larges mains viriles lui masser le corps tout entier, serait une expérience inoubliable. Mes paumes étaient chaudes, mes doigts agiles, et le parfum de l’huile lui bouleversait les sens. Ensuite, je mis du chocolat tout au long de ses lèvres humides, du miel un peu froid sur ses seins. Je caressais lentement son ventre avec une tendresse incroyable. Je sentais son excitation monter. Ma main voyageuse s’insinuait à l’intérieur de ses cuisses. La pointe de ma langue récupérait le chocolat sur ses lèvres pour le déposer à dans sa bouche qu’elle avait entre ouverte tout en les mordant légèrement. Je descendais sur ses seins, et suçait ses tétons tout en pinçant légèrement avec le bout de mes doigts, récupérant ainsi le miel, je l’embrassai à nouveau. Je pris un glaçon par la bouche, et faisait des vas et vient sur son ventre, et à l’intérieur de ses cuisses. Son excitation montait, les mouvements de frottement de ses cuisses avaient presque enlevé la serviette qu’elle avait attachée sur son bassin. Son corps en entier s’enflammait sans qu’elle puisse retenir ce flot continu de délice sensuel. Malgré ses efforts, elle ne parvenait pas à endiguer la puissance de son propre désir. En un coup, elle ôta, la serviette et devint complètement nue. Une femme nue, j’en avais vu de toutes les couleurs, mais cette nudité faisait battre mon cœur à tout rompre. Son sexe était gonflé, recouvert de petits poils tout autour. Sa dernière épilation remonterait surement à quelques jours. Un énorme repli de chair rose et de liquide près à exploser. Je faisais des mouvements circulaires autour de son sexe, d’où se dégageait une chaleur inidentifiable, tout en l’évitant. Je m’en approchais si prés que mon souffle effleurait les petits poils de la partie saillante de son pubis. Elle aurait tout donné pour que je la touche, en vain, je devais continuer cette torture insoutenable. Je prenais un malin plaisir à la torturer. Puis c’était au tour de la feuille de menthe, j’en pris une pincée, et commençai à rouler ma langue sur son clitoris. Cela devenait de plus en plus fort. Elle ne pouvait plus retenir ses pulsions qui se dissiper dans tout son corps. Elle avait entrouverte ses yeux pour me regarder, pour voir d’où venait tout ce plaisir. Je repris un peu de menthe, les déposa sur toute ma langue, et lécha son sexe, l’huma et l’humecta de ma salive mentholé. Je pouvais sentir l’odeur de ce délice, le gout de ce repli de chair qui mouillait d’avantage. Elle en voulait plus, elle tenait ma tête de toutes ses forces pour m’imposer un rythme. Elle voulait que j’avale tout, elle voulait remplir toute ma bouche de son sexe. Je le suçais, léchais, pressais, aspirais, puis suçait encore. Elle gémissait plus fortement, avec une intensité immensurable. Cela venait, ca venait, j’allais l’atteindre, ce point de non retour, ce point du limite extrême de l’extase. Le point ou elle ne pourrait plus rien retenir. Et brusquement, j’arrêtai, je fis un petit saut sur sein avant d’atterrir sur sa bouche. Je l’embrassai alors qu’elle passait sa main sur mon sexe, sur mon caleçon puis elle la glissa à l’intérieur. Elle poussa un petit cri, étonnée de grosseur de mon sexe qui bandait de plus en plus. Elle le caressa, fit des mouvements de vas et vient, puis voulu le sortir. Je profitai pour me retirer de sa bouche, et me releva.
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Amour Empoisonné
RomantizmDans ma bouche, il me restait le terrible gout de cette magnifique extase, ou chaque parcelle de mon corps crie d'avoir peur de te perdre.