Bienvenue à l'hôpital psychiatrique de Shaunabuckingham

Chapitre seize

Après avoir finalement admis que j'étais amoureux de Jack et de lui-même, les choses commençaient à s'améliorer. Après que nous nous sommes embrassés, il avait passé vingt minutes à m'aider à réparer mon nez et à m'en excuser constamment. Je ne pouvais pas rester longtemps en colère contre lui, je n'étais pas ce genre de personne. J'étais du genre à pardonner constamment aux gens, espérant qu'ils changeraient, parfois les répercussions sur moi me foutaient en l'air. Cependant, dans cette situation, j'espérais que ce n'était pas le cas. C'était le premier mec dont je sois vraiment tombé amoureux, aussi fou que cela puisse paraître, et je voulais en quelque sorte que ça dure un peu.

Depuis que Jack était retourné à son bureau pour travailler sur des projets, il serait probablement occupé par ça pendant la majeure partie de la journée, alors j'ai dû trouver un moyen de rester occupé. Mais rester dans la pièce toute la journée va probablement me rendre complètement fou.J'avais déjà changé de vêtements, sachant qu'il y avait des traces de sang sur ceux que je portais à l'appartement de Selina. J'allais passer un bon moment à essayer de nettoyer les taches. Deuxièmement, je voulais entrer en contact avec Pam et les autres. Le seul problème, c'était que j'avais perdu mon téléphone lors de ma première arrivée ici. Je demanderai peut-être à Jack plus tard si je peux m'aventurer dans le vaste monde de Gotham pour en acheter un nouveau.

Je me demandais comment les filles se débrouillaient maintenant. Je me sentais toujours heureux d'avoir protégé Harley, mais je voulais vraiment voir comment elle allait. Je devais leur faire savoir que j'allais bien. J'étais toujours reconnaissant que Pam m'ait offert de me laisser rester à l'appartement, mais je pense que je préférais dormir dans le lit à baldaquin plutôt que de dormir par terre. C'était certainement beaucoup plus confortable, c'était un fait certain. Je voulais pouvoir rendre visite à mes nouveaux amis, les seules femmes avec qui j'avais noué des amitiés dans ce nouveau monde criminel. En tout cas, c'était nouveau pour moi. Mais, une partie de mon esprit voulait toujours que tout se déroule normalement.Sortir où et quand je voulais, faire des rencontres avec qui je voulais, faire du shopping, faire ce que je ferais si je travaillais encore et vivais ma vie comme le font la majorité des gens normaux de leur vie.

En sortant de la porte, je décidai d'aller harceler Jack pour obtenir un nouveau téléphone, même si je ne voulais pas l'interrompre pendant qu'il était occupé à faire des complots, l'ennui commençait déjà à m'irriter. Stimuler la salle toute la journée devenait fatigant et la détermination de parcourir les rues de Gotham avait repris le dessus. Debout devant le bureau, ma main a prudemment plané sur la porte avant de finalement frapper à la porte. Trois coups plus tard et un «quoi?! résonna derrière la porte. En poussant la porte, Jack était affalé contre la chaise de bureau, entouré de divers papiers et papiers et, pour une fois, la pièce était complètement désordonnée. Il y avait même un couteau enfoui au fond de la table en acajou, quelque chose que je n'avais pas vu aussi la dernière fois.

«Salut.» Dit Jack d'une voix fatiguée et tendue.

"Salut Jack." Il se jeta hors de la chaise et se leva rapidement, retirant le couteau incrusté dans le bois et l'enfonçant dans ses poches. "Est-ce que je vous dérange?"

"Non, je fais une petite pause." Il se dirigea vers l'avant du bureau et se pencha dessus.

«Super, euh, écoute, j'ai besoin d'un nouveau téléphone portable.» Dès que j'ai prononcé ce mot, Jack a semblé se souvenir de quelque chose et a tapoté son gilet avant de sortir un objet de sa poche.

"Comme celui-ci?" Il agita le téléphone dans sa main. Je m'avançai vers lui et tendis la main vers le téléphone auquel il leva la main pour qu'il soit hors de ma portée.

"Depuis combien de temps avez-vous cela?" Je me levai pour essayer d'obtenir le téléphone. Abandonne, April, tu ressembles à un idiot.

«Depuis que tu es arrivé ici, je pense. Regardez, il est tombé de votre poche et je le gardais par précaution. Jack baissa le bras et me rendit le téléphone portable. En regardant par-dessus, une vague de déception m'envahit lorsque je vis que tout l'appareil était en panne et que l'écran en verre était totalement brisé.