Partie 17 🍒

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As salam aleykum mes perles, j'espère que vous allez bien ? Je pense finir la chronique bientôt (30 parties plus ou moins). Je vais essayer de vous poster une à deux parties par semaines. Bonne lecture.

Pdv de Bachir :

J'ai laissé ma femme à la maison car j'avais beaucoup de travail ce matin. En plus de ça cette après-midi je doit aller voir Mayra qui a quelque chose d'important à me dire. Elle m'a dit qu'elle ne pouvais pas me dire ni par téléphone ni par texto.

Je décide donc d'aller, elle me laissera tranquille après. J'ai pas voulu en parler à Maya (le surnom que je lui donne 😍) car j'avais pas envie qu'elle s'énerve encore une fois. Ça pourrait être très mauvais pour le bébé.

Une fois arriver chez elle, je constate que ma sœur Khadjidja y est c'était ce qu'on avait conclu afin de ne pas ce voir tout les deux seul à seul. Je les es  salué toute les deux. Elles me proposent du thé que je prend. Elle habite dans un studio. Apparement, elle est toute seule.

Moi : bon, Mayra j'ai pas trop de temps. Comme tu le vois j'ai quitté le travail assez tôt donc j'aimerais vite aller retrouver ma femme. Parle vite et qu'on en finisse. C'est qui cette personne que tu veux me présenter.

Mayra : oui je comprend. J'veux juste que t'éteins ton téléphone stp, j'veux pas qu'on soit déranger parce que ce que je vais te dire va être très long....

Moi : non, je ne l'éteindrais pas !

Khadjidja : bismillah Mayra parle

Mayra : jure moi d'abord de m'écouter jusqu'à la fin

Moi : par Allah, que je t'écouterais jusqu'à la fin.

Mayra : tu sais que pendant notre relation j'ai toujours était sincère avec toi. Quand ma mère m'a appelé pour me dire que mon père était gravement malade. J'ai voulu partir mais papa est décédé

Moi : oui je sais où tu veux en venir Mayra mais tu devrais le comprendre, j'ai refait ma vie. Tu devrais la refaire toi de même

Mayra : écoute moi j'ai pas terminé. Je disais que papa est décédé et pendant c'est funérailles j'ai était très mal. Je me suis faite manipulé par ma tante et ma mère Bachir. Elle m'ont dit qu'elle me renie de la famille si je continuer à être ta femme. Je n'avais qu'elle comme famille là bas. Et ici j'ai personne à part ta famille. Bachir elle m'ont fait subir une centaine de choses horrible.

Pendant qu'elle me parlait, mon téléphone faisait que de sonner. C'était Oumaya elle a sûrement du mal à faire le ménage ou veut que je fasse quelques courses avant de rentrer. Je la rappèlerai tout à l'heure inshâ allah. Comme elle insisterait trop, j'ai décideré d'éteindre mon téléphone.

Mayra : Elle m'ont fait enlever mon hijab et en me demandant de me séparer de toi Bachir en me faisant croire que mon père aller me maudire dans sa tombe. J'veux que tu sache que je n'est jamais cessé de t'aimer, jusqu'à présent. Elle m'ont aussi dit que je ne toucherais pas à l'héritage de mon père tant que je serais lié à toi. Étant donné nos problème financier, j'ai accepté. Je t'es envoyer le peu d'argent que j'ai pu avoir mais elle ne me l'ont pas donné au complet. Elles ont déchirer mon passeport et tout mes papiers. Ma mère et sa sœur t'on toujours détesté. Je ne sais même pas pourquoi. J'ai commencé à être distante avec toi puis j'ai fini par te quitter pour le bien de la famille. Mais je me rend compte que je n'aurais jamais du te dire cela. Maintenant je dois de dire une autre vérité. Notre enfant que je portait n'est pas mort..

Moi : QUOI ?!!!! Comment ça ??

Mayra : ma mère t'a appelé pour le dire car elle ne voulait pas que tu vienne me chercher 😭😭😭

Chronique d'Oumaya : éprouvée dans cette union Où les histoires vivent. Découvrez maintenant