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9. Le chat est prêt à attaquer les souris.

Chapitre 9 :

/Plan B : Crier à l’aide. ×

Je n’ai pas eu à faire semblant car quand un inconnu vous saute dessus c’est spontané. Je crois que le clochard de Mars m’a vraiment entendu…/

Le clochard de Mars : Donne-moi ton porte-monnaie jolie jeune fille.

Moi : Wesh , en plus d’être clochard il est pédophile le mec.-en français-

Le clochard de Mars : Nan, tu es française toi ? –en français-

Moi : Nope , suédoise mais je vit au Maroc.

Plus bête que ça on meurt, la prochaine fois que je croise un clochard je lui file toutes mes coordonnées qu’on en finisse.

Le clochard de Mars : Ah bah moi aussi je suis marocain. Tu sais quoi je te laisse tranquille je ne touche pas à mes sœurs moi.

Encore heureux.

Moi : Tu sais quoi j’ai besoin de ton aide –dis je en voyant les garçons s’approchaient de nous-.

Je lui expliquai vite fais mon plan et lui tendis mon téléphone, oui il était chargé de filmer, ce n’est pas comme ci je confiais mon téléphone à un inconnu qui fouille dans les poubelles, si ? Bref c’était trop tard et en plus je voulais plus que tout me venger de Nash.

Cameron : Eh toi ! Rend lui son téléphone.

Brent : On est six contre un,  laisse tomber.

Moi : La glace au chocolat + complément est dans le pré. –en regardant le clochard de Mars dans les yeux-

C’était mon signal d’attaque, toujours en relation avec la nourriture, mais j’avais oublié de lui dire, oups.

Matthew : Il est où le pré ? –en se retournant de partout-

Brent : C’est moi où on a parlé de chocolat et de GLACE?

Le clochard de Mars : Hein ?

Moi : Barbie est prête à tromper Ken.

Carter : Sérieux ?! Je la quitte aujourd’hui c’est bon elle me saoule !

Le clochard de Mars : Hein ?

Moi : Le chat est prêt à attaquer les souris ?

Le clochard de Mars : Quoi ?

Moi : Putain t’es con ! FILME MAINTENANT !

Je sortis ma bombe de crème chantilly que j’avais réussi à me procurer dans le resto et arrosa tout le monde de crème.

Moi : Dans ta face Grier … -en voyant les autres- ouais ok, ya aussi Dallas, Reynolds, Mendes, Rivera et Espinosa mais c’est pas grave hein ?

Ils me lancèrent des regards qui tuent. Il est temps pour le chat de fuir, avant ça je récupérai mon téléphone et remerciai le clochard.

Je me retournai toujours en courant et malheureusement ils me suivaient toujours. Puis vint le moment le plus honteux de toute la carrière de la jeune, talentueuse, belle, magnifique, bon t’as finis de raconter des mensonges là (ma méchante conscience) Mary Eliacin : elle se prit un poteau.

Moi : Aïïï !

Je me retrouvais par terre les mains sur mon front, j’entendais déjà les garçons rire derrière moi. Je me relevais difficilement  mais je me relevais quand même pour montrer que je n’ai rien.

Moi : Pff, ça ne fait même pas mal.

Et ils riaient encore de plus bel. Tant mieux car moi aussi je leurs sortis mon plus beau doigt plusieurs fois (gif).