LISEZ LA NOTE DE FIIIIN C'EST IMPORTAAAAANT MERCIIIII
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Jiro : C'est peut-être ici que nous trouverons Katsuki, (T/p).
J'éteins ma lampe de poche, maintenant inutile grâce à la lumière bleutée de la pièce d'en face qui nous éclaire suffisamment. J'avance vers Jiro en me posant beaucoup de questions. Et si Katchan n'était pas ici ? Si Katchan était vraiment... parti ? Et si cette pièce était piégée ? Avons-nous signé notre arrêt de mort? J'ai du mal à respirer. J'avale et recrache l'air très rapidement mais ai la sensation de ne pas oxygéner mon corps.
Jiro : (T/p) ? Tout va bien ?!
(T/p) : Je... je crois que je fais une crise d'angoisse...
J'entends Momo s'approcher rapidement vers moi, elle attrape mes épaules en me regardant avec un air sérieux.
Momo : Tout est bientôt fini, (T/p). Tout va bien se passer, me dit-elle avec une voix calme et douce.
(T/p) : Mais... mais si... Katchan n'était pas... pas là ?
Momo : Pour l'instant, je veux que tu te calmes, d'accord ? Respire avec moi.
Momo commence à inspirer profondément, alors comme ordonné, je fais de même. Nous expirons ensemble longuement et répétons cet exercice de respiration plusieurs fois avant que je me calme totalement.
(T/p) : Okay... Okay... c'est bon...
Momo lâche mes épaules. Je souffle une dernière fois avant d'offrir à mon amie un sourire, qui lui permettrait de la rassurer.
Momo : Je vais rester à la fenêtre pour observer ce qu'il se passe dehors. Je vous préviens s'il y a quoique ce soit de louche.
La brune s'en va et me laisse avec Jiro au milieu des nombreuses machines informatiques qui sont installées ici. Je décide d'entamer les recherches. Je vais d'abord sur ma gauche. J'examine attentivement les unités centrales alignées devant moi avant d'apercevoir, grâce à l'écart entre elles et le plafond, un creux qui semble assez profond. J'appelle Jiro et lui demande de pousser l'une d'entre elles avec moi pour voir ce qu'il se cache derrière. Nous posons toutes les deux nos mains sur la grosse boîte noire et poussons avec toute la force de nos bras, afin de la décaler. Une petite ouverture finit par se créer, assez large pour que mon corps passe à travers. Je me faufile dans cet espace étroit et découvre un nouvel endroit caché. Se trouve devant moi, une porte. Une porte en bois clair, encadrée par un mur blanc qui reflète nos ombres à cause de la lumière bleu qui illumine derrière nous. J'avoue ne pas être très impressionnée. Avant de toucher à quoi que ce soit, j'attends que Jiro soit à mes côtés. Elle me rejoint, en replaçant correctement sa casquette sur sa tête. Elle regarde la porte puis moi.
Jiro : Je n'ai jamais connu l'existence de cette porte, alors je ne sais pas si c'est dangereux de l'ouvrir. Mais bon... il n'y a qu'un seul moyen de le savoir n'est-ce pas ? Par contre je te conseillerais de reculer un peu quand même. On ne sait jamais.
Je m'éloigne un peu de Jiro et attends qu'elle ouvre cette porte. Elle la pousse doucement, dans un silence religieux. Elle allume sa lampe torche et déplace la lumière qui s'y échappe dans toute la pièce. Elle avance dans l'obscurité et cherche un interrupteur sur les murs. Elle en trouve un et appuie dessus. Une lumière légèrement dorée éclaire la pièce.
Jiro : Mais qu'est-ce que...
La deuxième salle a, à peu près, la même surface que la première : ni trop grande, ni trop petite. (COMME MA BI-) Mais une toute autre ambiance y règne. Une ambiance pesante et glauque. Nous ne sommes plus dans une pièce rangée que j'ai pu voir plusieurs fois au cours de notre mission. Non. Tout est en désordre, en bordel total. Des dizaines de feuilles noircies par l'encre d'un stylo jonchent le sol et couvrent les murs. Une petite table est contre la cloison à ma gauche. Sur elle, se trouve une douzaine de tasses vides remplies par un simple fond de café. Une grande feuille est dépliée sur le bureau et des crayons sont éparpillés dessus. Une odeur de renfermé vient agresser mes narines et me dégoûte franchement. Tout ce bric-à-brac me met mal à l'aise. Malgré tout, j'entre dans la pièce et commence à chercher quoi que ce soit qui pourrait m'être utile dans mes recherches. Je remarque un petit meuble à côté de la table. Composé de deux gros tiroirs en bois. Je m'accroupis et ouvre celui du haut, prudemment. Un carnet à la couverture de cuire s'y trouve. Je le prends et l'ouvre à la première page. Je suppose qu'il appartient au père de Jiro. Je commence à le lire, attentivement.
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Katsuki x Reader : Amour artificiel.
FanficNous sommes en 2087. Le monde a beaucoup évolué depuis l'époque de nos ancêtres. D'après les écrits de ma grand-mère maintenant décédée, les ordinateurs ne pouvaient pas projeter d'hollogrammes tactiles, Mars n'était pas encore colonisée par l'espèc...