Une histoire de famille partie 3 et fin

8 1 2
                                    

Le narrateur de retour chez ses parents qui sont devenus étranges trouve une énigmatique boîte sur son lit laissé par un étrange visiteur.

C'était une petite boîte de carton refermée par une cordelette, je coupa cette dernière pour l'ouvrir. J'y découvris les photos qui avaient disparues accompagnées d'un mot « fuis ;maman ».
Ne sachant qu'en penser le me dit que je verrais cela demain avec elle quand nous serons tous les deux.
Heureusement il se trouvait que mon père dut partir faire une course. Je rejoignis ma mère pour entamer la conversation.

-Salut, hier soir j'ai entendu du bruit c'était toi ?
-Non, je n'ai rien entendu moi.
-Pourtant j'ai retrouvé une boîte de photos avec un mot de ta part.

C'est à ce moment là qu'elle se mit à convulser et que mon père déboula dans la pièce alors que je le croyait parti. Il me hurla d'aller chercher la seringue posée sur la table, ce que je fit sans poser de question. Il me l'arracha des mains pour la planter dans son torse.
C'est alors que je couru dans ma chambre pour essayer d'oublier ce qui venait de ce passer. Il m'y rejoignis après quelques minutes pour me demander ce qui s'était passé.
Je lui dit et il m'expliqua que ma mère avait dû faire une crise d'hystérie, et que c'était lui qui avait retiré les photos car elles la mettait mal à l'aise.
C'était décidé ,cette nuit je vais aller voir ce qui se cache dans cette remise où il passe sa vie.

Fin
Ça y est je suis face à la porte. Est ce que je veut vraiment savoir ce qui s'y trouve ?Oui pour enfin pouvoir partir d'ici.  Je pousse la porte en bois rongé par les vers ,les gangs grincent et résistent. L'intérieur est couvert de poussière et de toiles d'araignées mis à part une autre porte au fond de la pièce. Je m'en approcha avec difficultés dans la pénombre. Un cadenas rouillé la fermait, je le fit sauter pour pouvoir enfin accéder à la vérité.
A l'intérieur se trouvait un petit atelier aux murs peints en rose et encadré par des établis couverts de peluches diverses. En voulant aller voir de plus près j'entendit un bruit, mon père venait de rentrer et je n'eus pas le temps de trouver une cachette qu'il était au seuil de l'atelier les bras croisés. Il n'était pas en colère et me proposa d'aller boire un thé pour en parler. En effet cela faisait 2 ans que ma mère perdait la tête ne pouvant plus se voir en photo et était victime de crises de démence. Sans doute la nuit dernière elle avait eu un moment de lucidité et avait choisi de m'offrir ces photos et de me demander de partir de honte de son état. Tout cela l'empêchait  de vivre sa vie ce qui poussait mon père à passer ses journées à faire des peluches ,sa passion innavoué
Quelques jours plus tard je partis de la maison de famille plus serein mais inquiet pour leur santé.

Fin ?

En vrai ce sont des monstres bizarres qui ont tués ses parents pour prendre leurs places mais cette histoire commence à durer trop longtemps donc je clos.

Un peu de tout ,beaucoup de rien    Recueil de nouvellesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant