Chapitre 1: Giorgio Volli, unique rescapé.

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Nous sommes à Paris en Octobre 1918. Le visage d'un enfant qui attend, sur un banc, face à un officier qui attend lui aussi. Les garçons s'amusent jusqu'à l'arrivée d'une infirmière. Dès le départ, elle croit que Giorgio Volli est l'enfant.

- Giorgio Volli? Tu viens avec moi?

- Pardon ma soeur, c'est moi Giorgio Volli.

-Oh, excusez moi lieutenant. J'ai cru que...suivez moi.

Giorgio, un lieutenant démobilisé pour cause d'injonction de gazes suit l'infirmière et entre dans le cabinet du docteur militaire. Ce docteur est le Pendant que le médecin l'ausculte, un infirmier vient prévenir le docteur que l'un premier des fous dont est peuplé Giorgio. Il se saoul à l'absinthe, alcool mortel, et ose prédire à Giorgio un avenir court.

-Vous avez peur de la mort Volli?

-Oui...

-Asseyez vous. On dirait bien qu'elle aussi a peur de vous. Vous savez que toute votre section y est passée?

-Tous? Même le capitain?

-Le mois dernier, oedème foudroyant. Croyez moi Volli, logiquement, vous êtes mort.

Pendant que le médecin l'ausculte, un infirmier vient prévenir le docteur que l'un des patients est mort.

-C'est Dumoulin monsieur, arrêt cardiaque pendant l'amputation.

-Et bien?

-C'est que son petit attend dans le couloir.

-Depuis quand?

-Ce matin.

-C'est pas mon boulot! Voyez ça avec une bonne soeur!

"Condamné à mort" par le docteur, Giorgio repart et assiste dans le couloir à la scène où l'enfant, à présent orphelin se fait raccompagner par l'infirmier et la bonne soeur dans un endroit que l'on préfère ne pas connaître.

GiorginoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant