Ne Jamais Accepter les Ténèbres

Welcome StoryBrook

Kilian: Terre en vue!!

Le bateau dégringola et tous s'accrochèrent ou ils purent. Le bateau s'éclata sur l'eau avant de reprendre son allure. Zyaëlys s'approcha du bord et souffla en regardant la petite ville de StoryBrook. Elle voulait plus que tous retourner sur son île et reprendre sa vie d'avant. Le bateau accosta au port remplie de monde et tous rejoignirent la terre ferme. Chacun se prit dans les bras en pleurant ou en rigolant. Zya et Félix se mirent à l'écart en regardant les effusions de joies. Cela les fit sourire légèrement. Peter dans le corps d'Henry s'approcha d'eux.

Peter: Je vais gagner leurs confiances.

Zya: Et comment?

Peter: Maman, Zyaëlys et Félix sont en liberté!

Félix: Qu'est-ce tu fout?

Peter: Je te l'ai dit, je gagne leurs confiances.

Kilian: T'inquiète bonhomme on va s'occuper d'eux.

Henry/Peter lui sourit et le pirate lui ébouriffa les cheveux.

Kilian: Aller vous deux, suivez moi que l'on en finisse une bonne fois pour toute.

Zya et Félix fusillèrent Peter et Crochet du regard mais le suivirent sans faire d'histoire jusqu'à un bâtiment froid et qui semblait lugubre.

Kilian: Un petit tour dans les geôles devrait vous remettre les idées en place.

Zya: Connard...

Mais elle le suivit jusqu'à une cellule. Kilian ouvrit la porte puis se tourna vers les deux adolescents.

Kilian: Soit heureuse que je te laisse avec ton chéri. Aller, couler la dedans.

Félix: Tu le payera un jour.

Kilian: Un jour peut-être.

Il les poussa à l'intérieur et ferma la porte à clé avant de s'éloigner avec un léger rire qui fit enrager la jeune fille. Elle donna un grand coup de rangers dans la porte en criant.

Félix: Ça ne sert à rien.

Zya: Oui mais sa défoule, on est piéger comme des rats!

Elle s'assit sur la banquette qui sert de lit en croisant les bras et en boudant comme une enfant.

PDV Zyaëlys

Non mais je rêve! Je suis en taule putain! Enfermée comme un vulgaire chien pendant que monsieur Pan doit bien s'éclater. Félix s'assit à côté de moi en soupirant, il avait retirer sa capuche et je ne pu m'empêcher de le regarder.

Félix: Quoi?

Moi: Rien, j'ai bien le droit de regarder mon mec non?

Félix: Ouais mais on dirait que tu va me tuer.

J'éclate de rire en m'excusant. Mais le pire fut à venir, on passe toute la journée dans cette cage de merde. J'ai besoin de grand espace moi, pas d'une boite de conserve rouiller. Je repense à mon appartement de Raleigh, j'avais de la place dans cet appartement et je soupire en pensant à mes pauvres plantes qui doivent avoir dessécher en mon absence. Mon téléphone se mit à vibrer dans ma poche. Je l'avais carrément zapper. Plusieurs appels de mes dealers et un de mon propriétaire qui me disait que j'avais enfin pu acheter mon appartement. Bon une bonne nouvelle dans ce merdier qu'est devenu ma vie. La nuit était tombée depuis une bonne heure quand je sent un frisson me parcourir. Juste devant notre cage il y avait l'ombre de Neverland et ses grand yeux blanc qui nous fixer.

Félix: Tu va nous sortir de la?

Moi: Elle a intérêt, j'en ai marre de cette boite de conserve!