Chapitre 50

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_Quoi?

_Une prochaine fois.

Elle le regarda, ahurie. Alexandro lui tendit une autre serviette sans regarder son corps, de peur de changer d'avis.

Maria lui avait arraché la serviette; avec hâte elle s'enroula dans la serviette en lui lançant un regard noir.

_Si la prochaine fois t'es pas prêt à terminer ce que tu as commencé alors ne commence pas.

Elle sortit sans l'attendre et alla s'enfermer dans le dressing.

Tout en s'habillant, elle pensait à ce qu'il s'est passé plus tôt.

Pourquoi s'était-il arrêté alors qu'il avait bien du mal à le faire? Aurait-il compris qu'elle est novice?

Non, impossible! Elle ne lui a jamais rien dit sur ce sujet.

Mais, habitué à des femmes expertes, peut-être a-t-il remarqué qu'elle ne s'y connaît point.

Elle finit enfin par se faire une raison de ne pas lui en vouloir, et après plusieurs minutes à choisir une tenue... sexy... Elle finit par sortir du dressing; rapidement elle peigne sa chevelure et les laissa libre.

Une délicieuse odeur de tacos italien, de minestrone, et de pleins d'autres plats la menèrent vers la cuisine, où elle trouva Alexandro s'activer aux fourneaux. Elle sourit à cette vue, et attendit qu'il remarque sa présence.

Quand ce fut fait, elle se réjouit intérieurement de le voir béguer en examinant son corps de la tête au pieds. Elle se mit à examiner chacun des plats et lui dit alors qu'il continuait toujours à l'admirer:

_Tu es très rapide.

_J... je n... ne trouve pas.

Elle vint à lui, quand elle fut près au point de sentir le parfum d'Alex, elle leva un regard faussement inquiet ver lui et lui toucha de ses mains, le visage d'Alex...

_Tu vas mal?

_Non.

_Tu n'as pas de fièvre en tout cas.

Alexandro lui attrapa les mains, et les amena à ses lèvres pour y déposer un baiser sur chacune.

_Va te mettre à table; lui dit-il.

Elle prit les couverts nécessaires et tout en les mettant sur la table, elle lui dit:

_Tu sais, si tu es malade, tu n'as pas besoin de me le cacher.

_Non, je vais parfaitement bien.

_Puisque tu le dis; répond-elle en haussant les épaules.

Alexandro la servit puis se servit et après ils commencèrent à manger.

_C'est très bon.

_Plus bon que tes propres plats? Taquine Alexandro.

_Ah non; n'exagère pas.

Alexandro pensait qu'elle ressortirait de ce dressing; froide, en colère, blessée ou vexée, mais pas avec une bonne humeur et un sourire plaqué aux lèvres.

Il ne sait pas à quoi elle joue.

Ou peut-être si; se dit-il en dardant encore une fois un regard sur la tenue de la concernée.

Le repas terminé; après avoir débarrassé la table et fait la vaisselle, Maria demanda à Alex:

_Tu ne vas pas au travail aujourd'hui?

_Non.

_Et pourquoi? Demanda-t-elle.

Il vint entourer sa taille et lui répondit, ma tête nichée au creux de son cou:

_J'ai envie de passer du temps avec ma copine.

Maria sourit en étant maintenant certaine que son plan marchera à merveille.

2. Fraîche comme une rose. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant