2. Fraîche comme une rose.

Chapitre 58

Je suis de retour😄😄😉, j'espère ne pas vous avoir trop manqué. Bonne lecture😊😊.

_____________

Alexandro se réveilla avec un sourire qu'il avait depuis qu'il a fait sa connaissance; il posa son coude sur l'un des oreillers et se mit à l'admirer...

Il ne sait combien de temps il la regarde, mais il sut que ça fait des heures quand il la vit clignoter des yeux.

Automatiquement, Maria sourit quand elle le vit à côté de lui, puis, sa timidité revenue, elle remonta la couverture sur elle. Alexandro l'empêcha de venir à bout de son geste...

_Tu es magnifiquement plus belle sans...

Maria rougit tout en essayant de récupérer la couverture, cependant Alexandro ne semblait pas du même avis...

_... toute nue... offerte à moi... Me laissant redécouvrir chaque partie de ton corps...; reprit-il en l'embrassant et en la dorlotant.

Elle gémit quand il aventura sa main entre ses cuisses et se laissa encore aller au plaisir charnel...

Un mois trois semaines plus tard...

Ils étaient revenus à Florence quelques jours après leur journée au Lac de Côme, Angelo a demandé la main d'Elizabeth qui a évidemment dit oui. Le kidnapping d'Elizabeth a eu lieu et heureusement qu'il n'est rien arrivé à Eli, ni aux enfants. Alexandro a confié à Maria le vœu d'être père et Maria sait qu'il sera heureux aujourd'hui...

Elle fut sortit de ses pensées par le rire de quelqu'un; il semblait être celui d'une... Elle descendit au salon et trouva une femme, qui elle doit avouer est très élégante, tenant la main d'Alex qui n'opposait aucune réplique.

Du coup, elle ne sait si ce sont ses hormones ou elle-même; elle se mit à penser à des choses qui n'ont ni queue, ni tête.

Lui tenir la main ne veut rien dire... Mais pour quelle raison amène-t-il une femme ici...

Elle devrait arrêter de douter de lui, après tout ils s'aiment; essaye-t-elle de s'en convaincre, car oui chacun a avoué son amour et c'est Alex qui a fait le premier pas; et de plus elle devrait prendre ce que Chloé à fait pour essayer de séparer Angelo et Eli comme conseil...

Elle émit un raclement de gorge pour signaler sa présence, immédiatement, Alexandro vint à elle pour lui offrir un baiser sur le front:

_Bonsoir cara; lui salue-t-il.

Elle lui répondit, toujours en jaugeant la femme devant elle:

_C'est qui?

_Cara je te présente Jeanne, ma cousine.

_Ma cousine, mon œil oui; marmone Maria.

La prénommée Jeanne qui n'avait pas entendu ce qu'elle a marmoné lui tendit la main en souriant et dit:

_Enchantée...

Elle ne pipa mot; Jeanne ajouta:

_... vous devez être Maria, il m'a beaucoup parlé de vous.

Elle se décida enfin à répondre:

_En bien j'espère.

_Qu'en bien; affirme-t-elle.

Maria ne se résolut quand même pas à lui saluer.

_Viens; dit Maria en tirant Alex vers la cuisine.

_Qu'est-ce-que t'as?

_Qui est-ce? Demande Maria en croisant les bras.

Tout en se souriant, il répondit moqueur:

_T'es jalouse.

_Oui et alors?

Pour la première fois qu'elle avoue l'être...

Toujours moqueur, il la prit dans ses bras:

_Je te l'ai déjà dit, c'est ma cousine.

Maria releva la tête:

_Et pourquoi tu ne m'as jamais parlé d'elle?

_Je n'en voyais pas l'importance...

_... maintenant je crois que tu l'as blessée en refusant de la saluer; ajoute-t-il.

Ils sortirent de la cuisine et Maria finit par la saluer, sans pour autant établir un contact physique avec elle:

_Bonsoir Jeanne.

_Bonsoir Maria... enfin je peux t'appeler par ton prénom?

_Si tu veux.

Jeanne lui offrit un sourire et s'adressa à Alex:

_Alors j'y vais, on se revoit demain.

Elle fit un signe à Maria et lança un "je t'aime " fraternel à Alex qui le lui rendit.

_C'est moi qui est mal entendu ou tu as dit que tu l'aime?

_C'est un je t'aime fraternel.

_Non, je t'aime veut dire je t'aime.

Sur des doutes infondés, elle dit:

_C'est avec elle que tu me trompe c'est ça?

_Oui.

_Tu sais quoi? T'aimer a été une erreur, plus jamais, plus jamais je t'aimerai.

_Tu n'auras pas besoin de m'aimer encore une fois car pour ça il faudrait déjà ne plus m'aimer, ce qui n'est pas le cas...

_T'es un connard, tu me trompe et tu amène la personne à laquelle tu me trompe ici.

_Un beau connard avoues...

Ce n'est que quand il vit une larme couler sur ses joues qu'il se rendit compte qu'il est allé trop loin dans... sa blague.

_Cara je plaisante...

_Tu... tu m'as trompé, t... tu l'a toi-m... même dit; bégaie-t-elle en reniflant.

_Oui, mais je plaisantais...

Elle le coupa en lui laissant sa paire de chaussures à la figure:

_On ne plaisante pas sur ce genre de chose connard.

_Je suis déso... s'il-te-plaît mon amour arrêtes de pleurer.

_Laisse-moi tranquille, au lieu de rester là à me demander d'arrêter de pleurnicher comme une enfant, tu ferais mieux d'aller rattraper ta petite... je ne sais quoi... avant qu'elle ne se barre; justement la même chose que je vais faire dans quelques minutes.

Il la retient cette fois-ci avec un peu de force afin qu'elle ne s'échappe pas et lui souffla:

_J'avoue que c'est une mauvaise blague mais c'est vraiment une blague. Il faudrait que je me fasse à l'idée d'être mauvais avec les blagues; finit-il dans un murmure à peine audible.

Elle l'analysa et il semblait dire la vérité.

Mais que lui a-t-il pris de blaguer sur ce genre de chose?

Il s'approcha d'elle et il allait la prendre dans ses bras quand elle lui dit:

_Tu vas devoir te racheter.

_Comment mon amour?

_En allant m'acheter un gâteau au chocolat, des carottes, des fruits de mers, et des bonbons.

_T'es sûre que ça va?

_Oui, pourquoi?

_Depuis quelques temps tu piques une crise pour rien, tu me réveille en pleine nuit pour me dire que tu veux boire un verre de lait ou pire encore pour me dire que tu veux regarder un dessin animé, tu manges comme ta sœur, tu...

_Quand tu auras fini, va m'acheter ce que je t'ai demandé s'il-te-plaît; le coupa Maria en l'ignorant majestueusement.